Chaquesemaine, Pascal Paillardet se penche sur un mot ou une expression dans l'air du temps et livre, en dilettante, le fruit de ses observations. Le “monde d'après”, c'était mieux avant !
colonisation et disent que c’était mieux du temps des Blancs.» Des paroles prononcées à la stupéfaction des journalistes qui l’interrogeaient. « À l’époque de la
Quandje voyais pas des bidonvilles se construire petit à petit dans ma banlieux, c’était mieux avant aussi ! On pourrait continuer longtemps je pense. Rien n’est tout blanc ou tout noir.
bonjour comme en tout, ce n'est pas entièrement vrai entièrement faux ! il y avait du mieux avant mais aussi du moins bien et en matière de santé ( le secteur que je connais le mieux ) , en 42 ans j'ai vu une sacrée progression ( ex : il y a 50 ans, un cancer du sein était mortel à près de 50 % , un bond a été fait dans les années 90 puis dans les années 2000
lIDBE vous propose le document «C'était tout de même mieux du temps des blancs» en consultation et téléchargement libre. pas de mail. IDBE home - IDBE bookstore - blog. Breton
Tempsde lecture estimé : 7 minutes. La célébration de Noël au Canada Les costumes d’Halloween à peine rangés aux placards, qu’on laisse maintenant place à la neige et aux paysages féeriques de Noël. Découvrez dans cet article, les traditions canadiennes qui font de cette fête un incontournable de l’Amérique du Nord. N
dYCe. De L’esclavage irlandais en Amérique. En enfer ou à la Barbade, un livre écrit par Sean Callaghan révèle les vérités derrière les Irlandais qui ont été vendus en esclavage. Après la bataille de Kinsale 1601, les Anglais avaient capturé quelque 30 000 prisonniers militaires, créant ainsi une politique officielle de bannissement ou de transport. James II encouragea la vente des Irlandais comme esclaves aux planteurs et aux colons des colonies du Nouveau Monde. La première vente enregistrée d’esclaves irlandais a eu lieu en 1612 dans une colonie située sur le fleuve Amazone. En 1625, une proclamation officielle ordonna aux prisonniers irlandais d’être rassemblés et vendus comme esclaves aux planteurs anglais. Entre 1629 et 1632, un grand nombre d’Irlandais, hommes et femmes, furent envoyés en Guyane, à Antiqua et à Montserrat. En 1637, environ 69 % de la population de Montserrat était constituée d’esclaves irlandais. Il fallait acheter de nouveaux esclaves, de 20 à 50 livres sterling, des esclaves irlandais capturés et vendus pour 900 livres de coton. Les Irlandais sont devenus la plus grande source d’esclaves pour les marchands d’esclaves anglais. De 1641 à 1652, plus de 550 000 Irlandais ont été tués par les Anglais et 300 000 autres ont été vendus comme esclaves. Comme de plus en plus d’hommes étaient transportés, laissant leurs femmes et leurs enfants derrière eux, ils étaient aussi rassemblés et vendus comme esclaves. Les Irlandaises et leurs filles étaient de moins bonne qualité que les esclaves noires et étaient considérées comme des esclaves domestiques. En 1649, Cromwell entreprit une campagne de terreur en Irlande. Tous les soldats capturés ont été transportés pour être vendus en esclavage. Quelques mois plus tard, en 1650, 25 000 Irlandais étaient vendus à des planteurs à St. Kitt. Au cours des années 1650, plus de 100 000 enfants irlandais, généralement âgés de 10 à 14 ans, ont été enlevés à leurs parents et vendus comme esclaves aux Antilles, en Virginie et en Nouvelle-Angleterre. En fait, plus d’Irlandais ont été vendus comme esclaves aux colonies américaines de 1651 à 1660 que la population totale libre » existante des Amérique ! En 1652, Cromwell ordonna que les Irlandais soient transportés à l’étranger, à commencer par 12 000 prisonniers irlandais vendus à la Barbade. La fameuse proclamation To Hell or to Connacht » fut publiée le 1er mai 1654, confisquant toutes les terres irlandaises, et les Irlandais indigènes devaient déménager à l’ouest du Shannon ou être transportés aux Antilles. Pour accélérer le processus en 1657, la loi a été clarifiée comme suit Ceux qui ne parviennent pas à se transplanter dans Connaught ou Co Clare dans les six mois seront atteints de haute trahison… doivent être envoyés en Amérique ou ailleurs… les mers… les bannis qui reviennent doivent subir les souffrances de la mort en tant que criminels en vertu de cet acte, sans bénéficier du clergé. » Ce n’était pas un crime de tuer des Irlandais, comme les soldats étaient encouragés à le faire, mais la traite des esclaves rentable à ignorer. En conséquence, 52 000 Irlandais ont été vendus à la Barbade et à Virginia uniquement. 30 000 Irlandais et Indiennes ont été faits prisonniers et ont été transportés et vendus comme esclaves. En 1656, le Conseil d’État de Cromwell ordonna que 1 000 filles irlandaises et 1 000 garçons irlandais soient rassemblés et emmenés en Jamaïque pour être vendus comme esclaves à des planteurs anglais. De 1600 à 1699, peu de gens comprennent que plus d’Irlandais étaient vendus comme esclaves que d’Africains. Les contrats de service étaient un accord mutuel par lequel un agent vendait une période de temps en échange de son passage, en échange de quoi il recevrait un logement, de la nourriture, des vêtements et généralement un terrain à la fin du service. Mais les Irlandais étaient plus souvent une exception. Parfois, l’esclavage n’était pas enregistré en tant que tel ou pas du tout enregistré. À partir de 1625, les Irlandais sont vendus avec un seul objectif les esclaves. Il n’y avait pas d’entente, pas de protection, pas de choix. Ils ont été capturés et remis aux expéditeurs pour être vendus pour leur profit. Les profits étaient énormes, 900 livres de coton pour un esclave irlandais. Tout le monde dans le commerce d’esclaves d’Irlande a réalisé un profit, à l’exception de l’esclave. Les esclaves irlandais et africains étaient logés dans les mêmes installations et appartenaient au propriétaire de la plantation. Les planteurs devaient payer plus cher pour un esclave noir. Les Noirs africains coûtent généralement entre 20 et 50 livres sterling, contre 900 livres de coton environ 5 livres sterling pour un Irlandais. Les Noirs ont été mieux traités. Le pape et tous les catholiques romains étaient considérés comme un ennemi de Dieu et de la civilisation. Toute infraction a été traitée avec sévérité. Beaucoup d’Irlandais sont morts suite à leur traitement. Tuer un esclave irlandais ne fut pas un crime, mais une perte. Mais le Parlement avait besoin de protéger certaines esclaves. En 1677, le Parlement adopta la loi réglementant le traitement des esclaves dans les plantations britanniques, désignant les sanctions autorisées pour inclure les coups de fouet et les marques pour les délits d’esclaves commis contre un chrétien. Les catholiques irlandais n’étaient pas considérés comme des chrétiens, donc ces protections ne s’appliquaient pas. Les planteurs ont commencé à élever les Irlandaises parce que c’était rentable. Les enfants des esclaves étaient eux-mêmes des esclaves. Les planteurs ont alors commencé à élever des femmes irlandaises avec des hommes africains pour produire plus d’esclaves qui avaient une peau plus claire et un prix plus élevé. En 1681, une loi a été adoptée interdisant la pratique d’accoupler les esclaves irlandaises aux hommes esclaves africains dans le but de vendre des esclaves. » Non par considération morale, mais parce que les marchands d’esclaves y voyaient une concurrence. En 1691, à la suite de la bataille de la Boyne et de la défaite du roi James, la traite des esclaves irlandais disposait d’une nouvelle réserve de captifs prêts à être transportés. Au cours des 100 années suivantes, la politique est restée le transport d’hommes, de femmes et d’enfants irlandais, vendus comme esclaves, une politique de nettoyage ethnique. Finalement, en 1839, un projet de loi a été adopté en Angleterre pour interdire ces activités, mettant fin à la traite des esclaves irlandais. De L’esclavage irlandais en Amérique. En enfer ou à la Barbade, un livre écrit par Sean Callaghan,éd. Mainstream Publishing _ The White Slave, Richard Hildreth éd. Adamant Media Corporation. Sources EuroLibertés toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS ! Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés ! EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct. 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ne vous méprenez pas sur ce qu’il dit, c’est un language politique, et il faut écouter l’emmision en entier, il parle aussi de l’ingérence francaise dans ce pays. nous les avons empécher de se développer en soutennant des jobards, et en plu on les a empoisonné avec des vaccins pourris, j’adore mon pays, la France, et je suis pret à le défendre,et ce n’est pas parceque la France a fait des saloperie dans le monde que je l’aime moins je ne comprends pas ce sentiments chez certains francais patriote, traditonnaliste, extréme droite, ou que sais je encore, de refuser d’accepter que nous avons déruit le monde avec les anglais et d’autres. c’est un fait, et c’est passé, je ne me sens pas responsable des exces des français en afrique, ça s’appelle de l’Histoire, c’est tout, y’a pas à polémiquer. bref, la france a anéanti de nombreux pays d’afrique, c’est un fait, je le regrette fortement, et j’en suis triste, mais c’est du passé, et ça ne m’empèche pas d’aimer mon pays énormément, j’espère que vous voyez ce que je veux dire.
Actu Victimes des inégalités sociales et des violences qui touchent le pays, les coloured » se considèrent comme les grands oubliés des programmes de discrimination positive. Pas assez blancs avant, pas assez noirs maintenant. La démocratie nous a laissés tomber. » La pancarte, brandie lors d’une manifestation à Johannesburg début octobre, résume bien l’état d’esprit des coloured métis en Afrique du Sud. Criminalité, chômage, exclusion économique… Ces dernières semaines, le ras-le-bol a gagné les quartiers métis, alors qu’ils s’estiment être les éternels laissés-pour-compte de la nation arc-en-ciel » voulue par Nelson Mandela. Derniers descendants des autochtones, les métis affirment être les propriétaires légitimes de l’Afrique du Sud dont ils auraient été spoliés. Les métis sont l’une des quatre catégories raciales – avec les Blancs, les Noirs et les Indiens – créées par le régime de l’apartheid et maintenues plusieurs décennies durant par des lois ségrégationnistes. A l’origine, ils sont issus du métissage forcé, souvent par le viol, entre colons et indigènes Khoïsan, survenu au XVIIe siècle à l’arrivée des premiers Blancs au Cap. Enrichie par des mélanges avec les populations esclaves, venues notamment de Malaisie, la communauté coloured représente aujourd’hui 9 % de la population du pays et 5 millions de personnes. En quelques siècles, les indigènes Khoïsan ont presque tous été décimés dans des conflits avec les colons blancs ou les peuples bantous venus d’Afrique centrale, comme les Zoulous, aujourd’hui l’ethnie majoritaire. Derniers descendants des autochtones, les métis affirment être les propriétaires légitimes de l’Afrique du Sud dont ils auraient été spoliés. Inaction policière Plus de vingt-cinq ans après la chute de l’apartheid et l’accession du Congrès national africain ANC au pouvoir, les inégalités atteignent toujours des sommets en Afrique du Sud 64 % des Noirs et 41 % des métis, contre 1 % des Blancs, vivent sous le seuil de pauvreté. En 2003, le gouvernement a introduit un programme de discrimination positive destiné à favoriser l’emploi des non-Blancs dans l’économie. Il est depuis critiqué pour avoir surtout bénéficié à une poignée de privilégiés liés à l’ANC. Les métis s’estiment donc lésés. Il y a désormais une hiérarchie liée à la noirceur dans ce pays, et cela dicte qui reçoit de l’aide et qui n’en reçoit pas. Nous en avons assez, nous refusons d’être continuellement marginalisés », explique Anthony Williams, porte-parole d’une organisation métisse. Leurs revendications ne sont pas nouvelles, tout comme les explosions sporadiques de violence. Mais le 27 septembre, la mort de Heather Peterson a de nouveau mis le feu aux poudres. Cette mère de famille a été prise dans une fusillade entre gangs à Westbury, un quartier de Johannesburg. Immédiatement, les habitants ont manifesté pour protester contre l’inaction des forces de l’ordre et l’impunité des bandits. D’après les statistiques de la police publiées en septembre, la criminalité est en hausse avec cinquante-sept homicides par jour, l’Afrique du Sud est comparable à une zone de guerre, de l’aveu même du ministre de la police, Bheki Cele. Sursaut nationaliste Pour les métis, le trafic de drogue et la guerre des gangs, des fléaux qui touchent particulièrement les townships autour du Cap où 50 % de la population est métisse, sont l’expression directe de leur exclusion économique et le produit de l’organisation spatiale héritée du régime de l’apartheid. Le régime colonial a organisé nos communautés de manière à ce que les gens soient compressés, qu’ils soient frustrés et qu’ils finissent par s’entre-tuer, explique Anthony Williams. C’est un génocide, et le gouvernement actuel est complice par son inaction. » Son organisation, South African Shutdown Coordinating Committee, mène des blocus autour des principaux intérêts économiques, afin de provoquer un sursaut des milieux d’affaires. Le plus cocasse les frustrations alimentent depuis peu un nationalisme métis. En avril s’est formé un groupuscule dénommé Gatvol Capetonians – les Capetoniens en ont ras le bol ». Très actif sur les réseaux sociaux, il revendique tout simplement la sécession de la province du Cap, et le renvoi par bus des migrants noirs » venus des autres provinces. De quoi compliquer un peu plus un contexte de tensions raciales déjà très explosif. Lire aussi Non, il n’y a pas de génocide » contre les fermiers blancs en Afrique du Sud Adrien BarbierJohannesburg, correspondance Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? 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10% de réduction sur votre prochaine commande ? Abonnez-vous au Mail Mag' de Color-Mania !En vous abonnant, vous acceptez notre politique de confidentialité Si vous lisez régulièrement notre blog et nos conseils cheveux, vous nous avez souvent entendus parler de la décoloration à blanc, ou “dite” à blanc, car elle ne l’est jamais tout à fait procédé nécessaire pour de nombreuses colorations semi-permanentes mais qui peut faire un peu peur. Et pour cause ! Nous ne pouvons pas nier que la décoloration poussée aussi loin peut abimer les cheveux, et il faut l’aborder avec précaution, encore plus quand on souhaite arriver à une base presque blanche. Mais dans quels cas faut-il une base blanche ? Peut-on arriver au blanc avec des cheveux foncés ? Faut-il décolorer en une seule fois ou en plusieurs étapes ? Essayons donc aujourd’hui de faire le tour de la question Dans quels cas faut-il une décoloration à blanc ? Première bonne nouvelle la décoloration à blanc n’est heureusement pas nécessaire pour toutes les colorations cheveux. Rassurez-vous donc, si le procédé vous fait peur ou si vos cheveux sont trop fragiles pour atteindre le sésame, il vous restera tout de même un large choix de couleurs. Les pastels C’est pour les couleurs pastel que la décoloration à blanc est bien souvent indispensable. Même si le gris ou le lilas peuvent être appliqués sur des cheveux légèrement jaunis grâce à leur effet toner, ils nécessitent tout de même une base très claire. Pourquoi une base blanche pour une coloration pastel ? Le peu de pigments contenus dans la coloration pastel n’est pas suffisant pour recouvrir le jaune des cheveux décolorés, un rose pâle appliqué sur du jaune pourra ainsi donner du orange, un turquoise du vert… voire ne pas marcher du tout ! Pour en savoir plus comment réussir une coloration pastel ? Le cas du bleu La coloration cheveux bleue est un cas un peu particulier pour les teintes les plus claires, pas de doute, il faut une base blanche. En effet un bleu appliqué sur du jaune aura plus de chances de ressortir vert. Pour un bleu plus foncé, et donc plus pigmenté, tout dépendra des cheveux. Sur certains, aucune décoloration ne sera nécessaire, sur d’autres il sera impossible d’obtenir un joli bleu sans une base blanche. Le mieux faire une mèche de test et voir en fonction du résultat s’il faut éclaircir ou pas. Et si je ne peux pas arriver à une base blanche ? Si la décoloration à blanc vous est impossible cheveux trop fragiles, abîmés, trop fins, trop foncés…, tournez-vous plutôt vers des couleurs très pigmentées et foncées. Les rouges, roses et oranges sont parfaits dans cette situation ce sont des colorations cheveux qui accrochent bien et qui peuvent souvent être appliquées sur une base peu ou pas décolorée. Pour en savoir plus, voici toutes les couleurs qui ne nécessitent pas obligatoirement de décoloration quelle couleur sans décoloration ? Comment faire une décoloration à blanc ? Si vos cheveux sont d’un blond clair, il est tout à fait possible qu’une décoloration et un toner suffisent à arriver à une base blanche. Avec des cheveux plus foncés, il faut souvent décolorer en plusieurs fois. Le nombre de décolorations dépend des cheveux au départ. En partant d’un rouge ou d’un noir par exemple, il faudra plus de temps, car ces pigments accrochent bien le cheveu. A chaque décoloration, vous pourrez voir si vous vous approchez du but et si vos cheveux supportent bien les traitements. Pour protéger vos cheveux le kit UrbanPlex Ce traitement à la kératine est très bien pour éviter d’abimer ses cheveux quand on les décolore beaucoup. Il contient plusieurs produits à utiliser à différents moments de la décoloration pour protéger la fibre capillaire voir Le Kit Urbanplex pour dire adieu aux cheveux abîmés !. Il peut aussi être utilisé pour réparer des cheveux très abimés. Pour la décoloration à blanc, c’est un vrai plus. Il permettra de bien décolorer les cheveux en les faisant moins souffrir, et donc de décolorer plus. À essayer si la décoloration vous fait peur ! Victime de son succès Combien de temps attendre entre chaque décoloration ? Il est recommandé d’attendre au moins 15 jours entre deux décolorations, et dans l’idéal même 1 mois. Plus on éclaircit les cheveux, plus il faudrait laisser passer de temps entre chaque décoloration, car ils se fragilisent à chaque fois. Dans tous les cas, la règle de base à respecter est de ne jamais jamais décolorer des cheveux abîmés s’ils sont cassants, très secs, ou pire élastiques, alors il faut les laisser se reposer, faire des soins, et ne redécolorer qu’une fois qu’ils auront retrouvé une bonne santé. Pour en savoir plus le mode d’emploi de la décoloration. Que faire de mes cheveux entre deux décolorations ? Après une décoloration, la couleur des cheveux n’est pas forcément tip-top. Et même si vous savez que pour le bien de vos cheveux vous allez devoir attendre au moins un mois avant de les éclaircir de nouveau, vous n’avez pas forcément envie d’avoir honte de votre chevelure en attendant. Plusieurs options s’offrent à vous – faites un blond en attendant, pour unifier – ou une autre autre couleur plus originale et assez pigmentée pour recouvrir la base obtenue. Le rose est souvent un bon choix c’est une couleur qui part souvent bien et qui ne sera pas incompatible avec du violet ou du bleu ou du orange si c’est par là que l’on veut aller ensuite et que la couleur n’est pas entièrement partie. Quel volume de décoloration choisir ? Si vos cheveux sont foncés et que vous ne les avez jamais décolorés ni traités vous pouvez commencer par un vol. 40. Après cette première décoloration cependant, et dans tous les autres cas, préférez des volumes moins élevés pour ne pas abîmer les cheveux. Faites aussi très attention au temps de pose plus vos cheveux seront clairs, plus le temps de pose sera court 10min peuvent parfois suffire. Pour la décoloration aussi, n’oubliez pas la mèche de test, qui vous permettra de mesurer le temps de pose et de savoir si vos cheveux supportent bien une autre décolo. Pour éclaircir vos cheveux en douceur, vous pouvez aussi opter pour un shampoing américain en mélangeant votre décoloration à du shampoing. C’est le même principe que l’apprêt, mais en laissant poser plus longtemps pour qu’il éclaircisse. Voici une sélection de produits décolorants. Pour retrouver tous les kits, marques, volumes et quantités poudre ou crème oxydante seule, kits d’1L…, suivez ce lien la décoloration. Les soins Même si vous n’avez pas l’impression que vos cheveux sont abîmés, attendez bien au moins 15 jours-1 mois entre deux décolorations et faites en attendant des soins à vos cheveux. Ils n’ont peut-être pas l’air comme ça mais la décoloration ne leur fait jamais du bien ! Si vos cheveux sont abîmés, posez un soin réparateur sur les cheveux mouillés, et emballez-les dans une serviette humidifiée, plusieurs heures si possible, et à renouveler autant de fois que nécessaire ! A noter la gamme “Blonde” de Urban Keratin est particulièrement adaptée pour entretenir votre blond ou votre blanc, car elle contient déjà quelques pigments violets qui vont commencer à agir comme toner. Si vous cheveux ont vraiment souffert, n’hésitez pas à utiliser le kit UrbanPlex pour les réparer. Pour en savoir plus prendre soin des cheveux abîmés. Victime de son succès Victime de son succès Le toner Le toner ne jouera son rôle qu’à la fin de votre aventure vers la décoloration à blanc. En effet, vous n’obtiendrez pas des cheveux blancs – ou presque – uniquement en décolorant, au risque de vraiment abîmer vos cheveux. Le toner servira donc à “effacer” les pigments jaunes laissés par la décoloration. Utilisé trop tôt cependant, il ne sera pas d’une grande efficacité. Ne négligez donc pas la mèche de test qui vous indiquera si vous cheveux sont assez clairs pour le toner ou pas. S’il vous reste des pigments autres que jaunes à cause d’une précédente coloration qui aurait du mal à s’estomper, vous pouvez aussi essayer le toner personnalisé. Pour en savoir plus utilisation du toner et toner gris ou toner blanc ? La décoloration à blanc est-elle possible sur des cheveux foncés ? Il est déconseillé de décolorer les cheveux très foncés, cependant nombreux sont ceux et celles qui ont tenté l’expérience sans trop de dommages. Si vous avez les cheveux très foncés et l’âme d’ alors vous pouvez tenter la décoloration à blanc. Là encore, on vous en supplie, n’oubliez pas la mèche de test à toutes les étapes, c’est votre meilleure amie ! Si en plus d’être foncés, vos cheveux sont fins et fragiles, il est probable que vous deviez faire une croix sur les colorations les plus claires et les cheveux blancs. Dans le doute, n’hésitez pas à demander conseil à un coiffeur. Pour en savoir plus La décoloration des cheveux foncés Et vous, est-ce que vous avez sauté le pas de la décoloration à blanc ? Venez nous raconter en commentaires comment cela s’est passé !
Mercredi 11 septembre 2019 Je suis blanche. Mes cheveux sont blonds ma coiffeuse n’y est pas complètement pour rien mais presque. Mes yeux sont bleus ma coiffeuse n’y est pour rien, à ma connaissance. Certes, aucun de mes parents n’est né en France mais je pourrais physiquement passer pour plus Gauloise qu’un accessoire sur une pochette d’album de Gainsbourg. Et comme si quelqu’une allait potentiellement en douter, mes parents m’ont octroyé un deuxième prénom sans équivoque, Blanche ». Rebecca Blanche donc. Je suis blanche. La réalité n’est évidemment pas aussi simple. Certaines consoeurs activistes m’ont ainsi fait remarquer que, du fait de ma judéité, je n’étais pas complètement blanche bien que je ressemble à une blanche c’est ce qu’on appelle dans le langage militant anglo-saxon du whitepassing ». C’est vrai, mais j’ai toujours bénéficié des privilèges accordés aux blanches. Peut-être un peu moins que Marion Dupond mais ce n’est pas le sujet. Je bénéficie d’un large espace d’expression, d’un accès à un réseau important, je n’ai aucune peur d’être tuée lors d’un contrôle d’identité – je ne me suis d’ailleurs jamais fait contrôler. Ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres. En tant que femme blanche – ou passant pour blanche, je dois parler du féminisme blanc. Un féminisme centré sur les revendications des femmes blanches et qui les présente comme universelles. Je me dois d’en parler parce qu’il s’agit d’un féminisme inutile. L’essayiste anglaise Reni Eddo-Lodge précise ainsi que s’il y avait une révolution menée – et gagnée – par les féministes blanches, cela ne changerait pas grand chose dans notre société. Le féminisme blanc peut néanmoins s’avérer dangereux quand les idées qui en émanent sont considérées comme étant communes à toutes les femmes. C’est un problème, car nous considérons l’humanité à travers le prisme de la blanchité. » Le Racisme Est Un Problème De Blancs. Les femmes blanches sont plus proches des espaces de pouvoir que les personnes racisées. Elles sont mariées avec eux, elles ont des enfants avec eux et les élèvent, elles vont dans les mêmes écoles qu’eux, elles partagent les mêmes repas du dimanche. Et si elles sont savamment écartées du cœur du pouvoir, elles maîtrisent néanmoins parfaitement les codes de la périphérie. Cela explique en partie leur soutien indéfectible aux politiques conservatrices, patriarcales et racistes dans le monde anglo-saxon. 53% des femmes blanches ont voté pour Donald Trump. Elles ont privilégié un vote lié à la peur des autres à un vote sororal – l’actuel Président américain étant un agresseur sexuel notoire. Si je ne parle pas de la France, ce n’est malheureusement pas parce que nous vivons dans une société où le racisme n’existe pas malgré la fabuleuse campagne Touche pas à mon pote » mais parce qu’il n’existe pas de statistiques permettant d’affirmer que les femmes blanches privilégient la solidarité blanche à la sororité. En somme, elles trouvent du pouvoir et des privilèges dans leurs relations avec les hommes blancs et permettent ainsi de conserver le status quo » comme le précise la journaliste américaine Marjon Carlos en se référant à l’essayiste Robin DiAngelo No Man’s Land, Spring 2019, Issue 03. Ne nous arrêtons pas aux femmes conservatrices. Ce constat est le même pour les femmes qui se disent progressistes. Dans le même article, Marjon Carlos rappelle que la réalisatrice de la série Girls, Lena Dunham, a soutenu publiquement un de ses collègues blancs accusé de viol par Aurora Mille, une actrice racisée. Si le féminisme comprend ce qu’est le patriarcat, commence Eddo-Lodge, il est important de se demander pourquoi tant de féministes ont du mal à comprendre la blanchité comme structure politique de la même manière. » C’est bien beau de citer Beyoncé, de prôner l’égalité, de clamer haut et fort qu’on veut une Alexandria Ocasio-Cortez » en France, mais ce n’est pas suffisant. Dans un message adressé aux femmes blanches, la comédienne et co-hôtesse du podcast Two Dope Queens également citée par Marjon Carlos est sans équivoque Vous devez faire mieux. Parlez à vos amies, à vos taties désolée pour la traduction hasardeuse de auntie’, et vos sœurs. Faites partie de la solution au lieu de dire C’était pas moi’, style Shaggy. Réparez. Ce. Gâchis. Maintenant. » Les femmes blanches ont le choix. Elles peuvent choisir d’être alliées d’un système patriarcal en centrant leurs luttes sur leurs propres problèmes et en les présentant comme universelles ou elles peuvent choisir d’être complices, de se mettre en danger, là où d’autres personnes n’ont pas de choix de se battre. Cela veut dire soutenir médiatiquement et financièrement les femmes – toutes les femmes – même lorsque cela implique des choix qu’on ne ferait pas pour soi-même. Big up aux militantes féministes qui ont fait cet été une action dans une piscine du 11ème arrondissement de Paris pour s’y baigner comme elles le veulent. Cela implique de s’instruire sur les luttes antiracistes par soi-même. Cela sous-entend de ne pas faire partie d’organisations – même celles qui se revendiquent pour l’égalité – qui n’intègrent pas pleinement la question intersectionnelle à leurs pratiques. Ce n’est pas le moment de se sentir fragile, de verser des larmes ou de sortir un NotAllFemmesBlanches. C’est le moment de lire des livres, Le Racisme Est Un Problème De Blancs » de Reni Eddo-Lodge ou encore Pourquoi c’est si dur pour les personnes blanches de parler de racisme » de Robin DiAngelo. C’est le moment de prendre conscience de ses privilèges et de remettre en cause ses préjugés. C’est le moment de mettre en pratique cette sororité dont on parle tant. 1/ Grenelle des violences conjugales depuis mardi et le lancement du Grenelle, le 3919, le service d’écoute gratuit et anonyme, a reçu quatre fois plus d’appels. Le gouvernement a lancé une large campagne de communication baptisée Réagir3919 pour faire connaître davantage ce numéro. Le Monde 2/ 5novembre16h47 c’est la verticale des Glorieuses pour mieux comprendre les inégalités économiques liées aux discriminations de genre et leurs impacts dans la société. On peut s’inscrire là et voir le premier numéro ici. Elle est disponible aussi en anglais. 3/ La nouvelle Commission européenne, dirigée par l’Allemande Ursula von der Leyen depuis juillet, sera presque paritaire et c’est inédit. Sous la précédente commission, dirigée par Jean-Claude Juncker, il n’y avait que 9 femmes pour 19 hommes. Huffington Post 4/ LesPetitesGlo la petite sœur rebelle des Glorieuses aborde le sujet délicat des violences conjugales chez les adolescentes et la nécessité d’avoir un espace bienveillant où se confier et être écoutée. Le deuxième numéro de la saison IV est disponible ici. 5/ La co-scénariste de la suite du film Crazy Rich Asians, Adele Lim, quitte la production après avoir appris que son collègue Pete Chiarelli gagnait 10 fois son salaire. Jezebel, en anglais 6/ En Turquie, Emine Bulut, tuée par son ex-mari, est devenue le symbole du fléau des féminicides. Mais, dans le même temps, le pouvoir veut se désengager de la Convention sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes. Le Monde 7/ Les Sud-Africaines sont descendues dans les rues du Cap pour protester contre l’incapacité du gouvernement à protéger ses habitantes. Au feminin 8/ Pour la première fois en France, l’imam est une femme samedi dernier, deux femmes ont animé un temps de prière musulman, mixte et progressiste. L’Obs9/ En Iran, les femmes ont l’interdiction d’assister à la moindre manifestation sportive publique qui prendrait place dans un stade arrêtée pour avoir assisté à un match de foot, une Iranienne s’immole devant le Tribunal de Téhéran. Terra Femina 10/ En cette période de rentrée scolaire, certaines universités mettent en place des distributeurs de protections périodiques afin de lutter contre la précarité menstruelle. L’université de Rennes 2 s’engage notamment à mettre en place un accès gratuit à des protections périodiques pour ses étudiantes. Huffington Post Les Glorieuses Soutiennent 💪 5novembre16h47 lundi 2 septembre, c’était le 1er édito de la verticale économie des Glorieuses où l’on parle de flouze, d’oseille, de cash dans vos boîtes mails ! Si vous n’êtes pas encore c’est par ici. L’édito est également disponible en anglais 🇬🇧, sous le nom de Glorious & Cash. Trois jours de tables rondes et d’ateliers consacrés aux autrices tout le week-end prochain c’est aux Grands Voisins que se tient Les Autrices, festival de littérature.⚡Deux places disponibles pour le club de lecture du dimanche 11h – 12h, membres du Club des Glorieuses, envoyez-nous un petit mail ⚡👉🏼 Les Autrices festival de littérature, Samedi 14 et dimanche 15 septembre 2019, Les Grands Voisins, 74 avenue Denfert Rochereau, 75014 Paris. Le festival Comme nous brûlons est de retour pour sa 3ème édition il commence aujourd’hui et dure jusqu’à dimanche.⚡Deux pass de 3 jours disponibles pour assister au festival, membres du Club des Glorieuses, envoyez-nous un petit mail ⚡👉🏼 Comme nous brûlons 3, du Mercredi 11 septembre au dimanche 15 septembre 2019, La Station – Gare des Mines, 29 avenue de la Porte d’Aubervilliers, 75018 Paris. Le rendez-vous secret du Club des Glorieuses, c’est pour bientôt à cette occasion, nous aurons un programme autour de la thématique de l’édition d’été des Glorieuses, les utopies féministes animé par la poétesse et activiste Kiyemis Jeudi 26 septembre 2019 à partir de 19h. Celle qu’on reçoit le lundi, deux fois par mois. Inscrivez-vous à la newsletter gratuite Les Glorieuses pour accéder au reste de la page Si vous êtes déjà inscrite, entrez simplement le mail avec lequel vous recevez la newsletter pour faire apparaître la page Nous nous engageons à ne jamais vendre vos données. 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c était mieux du temps des blancs