Unsucre d'orge c'est idĂ©al pour dĂ©corer le sapin. Celui-ci est fabriquer Ă  partir de chenille, mais on en mangerait presque, non ? 5 - 12 Ăąge; sucre d'orge en chenille . Materiel pour Sucre d'orge en chenille. des tiges de cure-pipes ou chenille rouge; des tiges de cure-pipes ou chenille blanches; des perles rouges en bois; Ultra simple, il suffit de tortiller ensemble une tige 1 PrĂ©chauffez votre four Ă  180°c. 2. Dans un bol de taille moyenne, mĂ©langez le beurre, le sucre en poudre et la cassonade jusqu’à consistance lisse. Ajoutez progressivement l’Ɠuf et la vanille. 3. MĂ©langez dans un autre rĂ©cipient la levure, le bicarbonate de soude, une pincĂ©e de sel et la farine. Ajoutez ce mĂ©lange dans la parlicorne Mon mari a rĂ©alisĂ© des sucres d'orges gĂ©ants pour la dĂ©coration de notre façade,( je ne vous en dit pas plus, vous verrez la dĂ©co extĂ©rieure une DĂ©couvrecomment dessiner un sucre d'orge facilement ! Laissez moi un commentaire en me disant qu'elle tuto vous aimeriez avoir ! N'oublie pas de t'abonner e 23janv. 2020 - Explorez le tableau « Sucre d'orge » de Nassima Bengana, auquel 521 utilisateurs de Pinterest sont abonnĂ©s. Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme gĂąteaux et Lesucre (nom anglais : sugar) est un ingrĂ©dient alimentaire issu de la canne Ă  sucre. Le sucre est parfois lĂąchĂ© par les sorciĂšres lorsqu'elles sont tuĂ©es par le joueur : Le sucre peut ĂȘtre donnĂ© aux chevaux comme nourriture. Il donne aux chevaux 1, accĂ©lĂšre le taux de leur dĂ©veloppement durant 30 secondes et augmente la probabilitĂ© d'apprivoisement de 3 %. Le sucre est apparu wO7Vi. La saison des frissons Les premiers touristes aisĂ©s de la fin du XVIIIe siĂšcle avaient dĂ©jĂ  le bĂ©guin pour les vestiges, les lieux oubliĂ©s et les terres arides. L’attrait pour la beautĂ© des ruines n’est pas nouveau. Mais nous avons franchi un cran de plus dans cette fascination. Eprouver le vertige factice d’un temps oĂč l’humanitĂ© aura disparu fait aujourd’hui partie des comportements ordinaires. Chacun peut aller regarder sur Internet les vidĂ©os de son choix, pour se faire le film de la fin du monde. L’effondrement total de nos civilisations appartient dĂ©jĂ  Ă  notre monde culturel, Ă  portĂ©e de simulation. Le tourisme Ă  Tchernobyl, dĂ©butĂ© en secret, en temps de fraude, a fini par rejoindre cette banalisation le voilĂ  officiellement organisĂ©, offert comme un sucre d’orge aux amateurs de l’extrĂȘme. L’innocuitĂ© apparente de ce phĂ©nomĂšne social, heureusement rĂ©percutĂ© par les journaux, se dĂ©cline en termes de faits inĂ©luctables Vingt-cinq ans aprĂšs la catastrophe, les autoritĂ©s ukrainiennes veulent attirer les touristes au cƓur de la zone entourant le sarcophage », lisons-nous dans Courrier International le 7 janvier 2011 1. Fin dĂ©cembre 2010, le ministĂšre des Situations d’urgence ukrainien a prĂ©sentĂ© au gouvernement une carte du site comportant des itinĂ©raires sans risque. DĂšs cette annĂ©e, le secrĂ©tariat d’Etat aux Stations balnĂ©aires et au Tourisme va ainsi pouvoir proposer des parcours aux visiteurs, et l’annĂ©e prochaine, lorsque le pays accueillera l’Euro 2012 de football, un million de touristes sont attendus. » Ce qui frappe, Ă  la lecture de ces prĂ©sentations, c’est la façon dont Tchernobyl », lieu des horreurs nuclĂ©aires, point de dĂ©part d’effondrements sociaux et d’éradications des espaces naturels, est accolĂ© Ă  des termes comme itinĂ©raire », station balnĂ©aire », parcours », football », qui Ă©voquent la joie des vacances. La juxtaposition de tels termes forme dĂ©jĂ  en soi un dĂ©ni. On cherche le moyen d’organiser des parcours safe dans lesquels la prise de dose sera sans risque, oĂč le frisson face au nĂ©ant anticipĂ© sera bien Ă  portĂ©e d’une bourse moyenne. On fait donc un calcul Ă©conomique pour monnayer l’un des plus grands crimes industriels commis par le monde nuclĂ©aire. Timbre commĂ©moratif du vingtiĂšme anniversaire, BĂ©larus Le verrou historique Cette façon dont le phĂ©nomĂšne touristique nous apparaĂźt Ă  la fois comme inĂ©luctable et comme Ă©conomiquement bĂ©nĂ©fique, est la meilleure maniĂšre de fabriquer ce que j’appellerai un verrou historique, c’est Ă  dire une interdiction de penser l’évĂ©nement dans son temps. L’image qui illustre l’article en question montre deux appareils captant le fond de la rĂ©alitĂ© visuelle la centrale de Tchernobyl, prise dans son corset de fer, avec sa cheminĂ©e. Au premier plan, un compteur Geiger, tenu par le guide ; un peu en retrait, un appareil photo, tenu par une touriste souriante. La lĂ©gende dit que le compteur montre un niveau de rayonnement 37 fois plus haut que la normale ». Le compteur est l’organe de la maĂźtrise mesurer le rayonnement radioactif, mĂȘme sans rien connaĂźtre de la nature des radionucléïdes qui entourent la jeune touriste, donne le sentiment d’avoir prise sur quelque chose. L’appareil photo, lui, permet de fixer le souvenir j’étais Ă  Tchernobyl. Tout se passe comme si le tourisme permettait de fixer l’état catastrophique des lieux dans un cadre allant de la mesure technique au souvenir de vacances. Le verrou historique, par voie touristique, tente ici de cautionner l’idĂ©e que la catastrophe est localisable. GĂ©rer le danger De fait, lisons-nous dans le mĂȘme article, le gouvernement ukrainien a pris le train en marche, pour Ă©viter le pire les excursions clandestines, bien monnayĂ©es, pourvoyant aux touristes les senteurs sauvages de larges bouquets de radionucléïdes. Il faut bien Ă©viter le pire, rĂ©cupĂ©rer les bĂ©nĂ©fices, et garder l’autoritĂ© sur la distribution des pĂ©rils. Les fameuses taches de contamination peuvent, semblent-il, ĂȘtre contournĂ©es, au profit d’itinĂ©raires au-dessus de tout soupçon. L’Etat assume sa mission la mesure des lieux, Ă  l’aide de bornes de contrĂŽle de la radioactivitĂ©. La technique gĂšre le danger. Les touristes autorisĂ©s, encadrĂ©s, peuvent donc circuler dans une aire unique au monde, reconquise par les bĂȘtes sauvages, oĂč les constructions civilisĂ©es poursuivent leur effondrement, tandis que crĂ©pite lĂ©gĂšrement le compteur Ă  isotopes. Moyennant la gestion des dangers, avec un rĂ©gime spĂ©cial », les abords de la centrales deviendront une des zones les plus attractives de la planĂšte » 2. La gestion appartient ainsi au verrou historique, car elle fait passer les lieux d’un Ă©tat d’immobilitĂ© catastrophĂ©e personne n’était censĂ© venir dans la zone interdite Ă  un Ă©tat de mouvement panoptique tout le monde est autorisĂ© Ă  venir en voir un maximum. L’interdiction n’avait rien de religieux, ou de moral il s’agissait d’une prĂ©caution sanitaire basique, Ă©vidente. La santĂ© des touristes devient, dans cette logique de la gestion, l’enjeu fondamental des parcours autorisĂ©s. La gestion Ă©limine le message moral, humain, que pouvait encore recueillir la zone d’exclusion l’interdit pouvait encore vĂ©hiculer quelque rĂ©flexion sur le franchissement historique accompli par la catastrophe. Les plus hautes autoritĂ©s s’accordent bien pour mettre en haut de l’échelle des valeurs le potentiel Ă©conomique », comme le reconnaĂźt Helen Clark, administratrice du Programme des Nations unies pour le dĂ©veloppement PNUD et coordinatrice de l’ONU pour la coopĂ©ration internationale pour Tchernobyl. La gestion dĂ©mocratise le tourisme du dĂ©sastre, Ă©vitant les surenchĂšres pour braver l’interdit. L’aventuriĂšre des zones mortes On pourrait se demander dans quelle mesure les premiĂšres prises de vue sur les lieux, les tout-premiers reportages de voyageurs et journalistes peuvent Ă©ventuellement servir de cadre Ă  ce tourisme isotopique. Ce n’est pas encore Tchernoland, il doit bien y avoir autre chose que le sens du frisson. Il faut se demander si la destination touristique contient, comme pour d’autres lieux d’éco-tourisme, une vocation pĂ©dagogique. Pour aborder les lieux, notre imaginaire dispose dĂ©jĂ  d’au moins un modĂšle mythique Elena Filatova, Ukrainienne nĂ©e en 1974, campe un intĂ©ressant personnage initiatique/initiateur. SanglĂ©e de cuir noir, de jour comme de nuit, munie de son compteur Geiger, elle parcourt Ă  bord d’une moto de solide calibre les routes vides, dans un rayon de 250 kilomĂštres autour de la centrale. Ses reportages, publiĂ©s sur Internet, montrent une volontĂ© de mĂ©moire et de rĂ©flexion, au cours des annĂ©es, sur l’extension du territoire contaminĂ©. Le pĂšre d’Elena, physicien nuclĂ©aire, lui a ouvert trĂšs tĂŽt les yeux sur le monde des centrales. Elle a fait son premier voyage en 1992, un an aprĂšs l’effondrement du monde soviĂ©tique. Au-delĂ  de son rĂȘve de motarde, rouler Ă  grande allure sur des routes libres de tout autre vĂ©hicule et de toute police, ce qui anime la jeune femme est d’ observer, d’annĂ©e en annĂ©e, comment le monde matĂ©riel se dissout dans le nĂ©ant » 3. Les photos sont belles dĂ©pouillĂ©es, comme les paysages traversĂ©s, la couleur un peu sĂ©pia semble avoir atteint le cƓur des choses. Au bord des routes gris clair, mĂȘme les panneaux qui portent les trois pales du sigle nuclĂ©aire sont rongĂ©s par la rouille. La nostalgie envahit le corps des bĂątiments comme une fatigue mortelle, les façades courbent l’échine, on voit Ă  vif les cĂŽtes des fermes, les toitures pleurent leurs larmes de tuile rouge. Le sentiment de dĂ©solation profonde pĂ©nĂštre jusque dans la vĂ©gĂ©tation, abondante pourtant, qui semble maigre et sĂšche, lianes inextricables, fĂ»ts Ă©troits de bouleaux, mĂȘme au printemps. Les arbres poussent Ă  travers les planchers des maisons abandonnĂ©es, Ă  travers le bĂ©ton dans les immeubles des villes. Dans les villes dĂ©sertĂ©es, le travail des hommes est rĂ©duit Ă  nĂ©ant. Une banque Ă  ciel ouvert a perdu son escalier fracassĂ©, il gĂźt au fond d’une piĂšce Ă©troite comme une prison. Une forme de surrĂ©alisme atomique laisse voisiner des formations Ă©mouvantes un jeune arbre pousse dans une poubelle, un squelette de chien reste lovĂ© dans les draps d’un lit d’enfant. On dĂ©couvre alors qu’en regardant ces photos, on entre dans une autre dimension du temps. Quelle dimension ? Car il ne s’agit pas seulement ici de tourisme. La solitude de la photographe est essentielle Ă  la portĂ©e de son regard. Pas de groupe de touristes, pour protĂ©ger ce regard. Le dĂ©pouillement des paysages » leur enlĂšve le caractĂšre de paysage. MĂȘme les sangliers, qui nagent dans un petit lac, semblent fuir quelque chose. Timbre commĂ©moratif du dixiĂšme anniversaire, Ukraine Parmi les fantĂŽmes de l’Histoire Dans son journal, en juin 2006, Elena Ă©crit Tchernobyl est facilement oubliĂ© parce qu’il n’est connu que de nous. Les premiĂšres annĂ©es aprĂšs l’accident, nous ne voulions pas partager notre histoire avec le reste du monde, et maintenant, nous ne pouvons plus la partager, nous nous la rappelons Ă  peine nous-mĂȘmes. Tout ce qui nous reste de cette tragĂ©die est le souvenir, affaibli et dĂ©figurĂ© par le temps. Dans le futur, l’indiffĂ©rence des gens Ă©touffera les quelques braises restantes, jusqu’à ce qu’elles s’éteignent. AprĂšs cela, Tchernobyl ne restera que dans la connaissance de quelques Ă©minents personnages et l’unique propriĂ©tĂ© de la nature 4. » Ecrire sur le tourisme d’aujourd’hui Ă  Tchernobyl, c’est garder encore quelques braises vivantes et les ranimer. LĂ -bas, dans les bourgades vides, les monuments commĂ©morent des temps disparus. Voici un mĂ©morial de la seconde guerre mondiale. En voici un autre de la Grande Guerre Patriotique ». Quand la statue va-t-elle sombrer ? Voici un monument de la Guerre Civile En 1921, Ă©crit Elena, l’ArmĂ©e Rouge Ă©crasa l’ArmĂ©e Blanche Ă  cet endroit. » L’herbe et le sable escaladent dĂ©jĂ  l’escalier qui monte vers la pierre symbolique. Combien de villes et villages morts ? Plus de 2000, dans un rayon de 250 kilomĂštres autour du rĂ©acteur maudit. Mais la ruine ne cesse de s’étendre, de se propager. Les gens s’en vont. Un trou noir dĂ©vore lentement les fosses de l’Histoire. Comme les pillards ont peur de dĂ©valiser les Ă©glises, ces derniĂšres sont encore un peu entretenues par les communautĂ©s avoisinantes. L’aventuriĂšre mesure une image de Christ radioactif, ainsi que la lĂ©gĂšre radioactivitĂ© d’une Bible restĂ©e ouverte Ă  la page oĂč l’ñge de l’absinthe a Ă©tĂ© prĂ©dit 5. L’ñge de l’absinthe La contamination prend le nom ukrainien d’une herbe amĂšre, l’armoise ou absinthe chernobyl. Le nom signifie littĂ©ralement la douleur noire 6. Elena Filatova Ă©crit qu’il a disparu des dictionnaires... Sous le rayonnement des micro-roentgens, l’asphalte s’allume encore il pĂ©tille de 500 Ă  3000 Ă  l’heure. Etre vivante alors que tout est mort autour de moi m’apporte un nouveau ressenti. Je me sens beaucoup plus vivante », Ă©crit Elena 7. Comprenons que l’ñge de l’herbe amĂšre, c’est celui d’une sortie de l’Histoire. Ici, Ă  Tchernobyl, il ne se passe rien, le caractĂšre mathĂ©matique du temps a perdu toute signification ». Timbre commĂ©moratif du cinquiĂšme anniversaire, URSS C’est que les lieux sont entrĂ©s dans l’ñge immĂ©morial des isotopes nuclĂ©aires. Ils s’enfoncent progressivement dans l’invisible. Peu Ă  peu, arbres et poteaux Ă©lectriques obstruent les routes, les rendant impraticables, les ponts s’écroulent. Ce n’est certainement pas ici que passeront les touristes, avec les autocars. Par oĂč passeront-ils donc, devons-nous demander ? Au printemps 2008, d’autres voyageurs se sont aventurĂ©s solitairement sur ces mĂȘmes chemins. Avec Elena, ils ont notĂ© qu’il devient de plus en plus difficile d’atteindre ces villes et villages morts. On les regarde de loin. Le tourisme officiel Ă  Tchernobyl va donc s’installer Ă  distance raisonnable entre les mythes mĂ©diatiques qui prĂ©figurent le dĂ©sastre nuclĂ©aire les films comme Aurora, ou Le Nuage et le rĂ©el pourrissement de la situation gĂ©ographique l’abandon des lieux. Car pour prĂ©server la mĂ©moire, comme le dĂ©sire Elena Filatova, il faut passer entre les branches, fouiller sous les lianes inextricables de l’absinthe. Tchernobyl est un avertissement Ă  l’humanitĂ©, dit-elle en mai 2008. Cet avertissement ignorĂ© ou incompris, nous sommes vouĂ©s Ă  refaire cette erreur encore et encore 8. » Dans l’apocalypse de Saint-Jean VIII,11, l’ñge de l’amertume est celui d’une nuĂ©e rouge et brillante apparue dans le ciel. MontĂ©s sur les toits des plus hauts immeubles, les gens regardaient avec Ă©tonnement l’astre de feu qui jaillissait hors du rĂ©acteur. Et maintenant, dans les forĂȘts, des loups oranges, brĂ»lĂ©s Ă  force d’avoir piĂ©tinĂ© le sol Ă  la recherche de quelque proie, laissent pourrir leur fourrure radioactive. Et les hommes qui sont morts dans les brasiers invisibles, foudroyĂ©s par le mal des rayons, ont Ă©tĂ© enterrĂ©s loin des cimetiĂšres. Avec eux, enterrĂ©s aussi, les hĂŽpitaux et les maisons oĂč ils ont Ă©tĂ© soignĂ©s. EnterrĂ©e, elle aussi, la terre qui avait soutenu tout cela. La terre rendue amĂšre par les rayons. Qui va Ă  Tchernobyl ? Les premiers chasseurs, photographes, scientifiques, ont bien montrĂ© que l’on survivait sur les terres interdites. Il faut bien sonder l’évolution de la vie extrĂȘme, constater de visu les mutations. De rares habitants, ĂągĂ©s pour la plupart, ne se sont pas rĂ©signĂ©s Ă  quitter leur maison, leur forĂȘt. Il y a donc, dans ces aires dĂ©solĂ©es, des humains qui vivent et se dĂ©placent. Le nomadisme radioactif emprunte des voies difficiles Ă  suivre oiseaux qui survolent les arbres rouges et se posent dans les maisons Ă©croulĂ©es, sangliers qui fouillent le sol, poneys qui galopent dans les sabliĂšres. Au moment oĂč j’écris ces lignes, j’ai lu que les Allemands s’inquiĂštent de l’arrivĂ©e de sangliers radioactifs sur leurs terres. Par oĂč ont-il cheminĂ© ? Ces chemins sont aux routes du tourisme officiel ce que les surfaces sont aux lignes une autre dimension. Qui ira voir ce qu’on ne voit pas ? Que verront les touristes ? Qui organise tout cela ? La centrale nuclĂ©aire prend un corps de lĂ©gende. Mieux complĂštement dĂ©rĂ©alisĂ©e, elle est dĂ©crite comme plantĂ©e dans un dĂ©cor de science-fiction » 9 ! Depuis que certaines zones ont Ă©tĂ© dĂ©contaminĂ©es, des agences spĂ©cialisĂ©e basĂ©es Ă  Kiev proposent, avec l’accord des autoritĂ©s, un voyage d’une journĂ©e dans ce fameux pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ©, peut-on lire. Pour environ 110 euros la journĂ©e, vous pouvez passer le check-point Dyltyatky Ă  l’entrĂ©e de la zone, vous pouvez prendre une photo devant le rĂ©acteur numĂ©ro 4 Ă  l’origine de la catastrophe, ou encore admirer la “forĂȘt rouge” qui a pris cette couleur incandescente aprĂšs l’irradiation. En 2010, 7500 personnes se sont laissĂ©es tenter par cette visite hors du commun. » Parmi les visiteurs, nombreux sont ceux qui travaillent dans le nuclĂ©aire ils veulent venir voir de plus prĂšs l’impact rĂ©el de l’accident. D’autres, anti-nuclĂ©aires, aiguisent sur place des arguments pour confirmer leur position. Il y aussi des amateurs de sensations fortes, et des fans science-fiction, qui veulent se propulser en direct dans l’univers de Mad Max 3, aprĂšs une guerre nuclĂ©aire. Que voient-ils ? Le cimetiĂšre des engins lourds nombre de trains, des hĂ©licoptĂšres, des bus, des camions, dont la tĂŽle est brĂ»lĂ©e par le temps. Le sarcophage rouillĂ© du quatriĂšme rĂ©acteur, qui s’écroule doucement. A Prypyat, situĂ©e Ă  3 kilomĂštres de la centrale, les arbres aussi hauts que les immeubles ont colonisĂ© la ville. Les gens sont impressionnĂ©s par le fait que la nature reprend le dessus ». Le seul hĂŽtel », situĂ© dans une zone dĂ©contaminĂ©e », accueille les touristes qui croisent des ouvriers ou des scientifiques. Les groupes de touristes de tous pays doivent ĂȘtre accompagnĂ© d’un guide officiel et respecter les consignes Ă  la lettre ne rien toucher, ne rien ramasser, ne pas boire ou manger sur les lieux. Pendant ce temps, chacun surveille son compteur Geiger. On peut s’approcher Ă  300 mĂštres du rĂ©acteur 4, et on n’y reste pas plus de 15 minutes, lisons-nous dans l’article des Observateurs. Un tourisme entre rĂ©el et virtuel Il est clair que d’annĂ©es en annĂ©es, le dĂ©cor est Ă©volutif. Non seulement la progression de la vĂ©gĂ©tation et de la vie animale est Ă©vidente, ainsi que la dĂ©gradation des habitations, mais encore les objets intimes des habitants retombent en poussiĂšre. Ce qui semblait presque intact il y a encore dix ans finit par sombrer. Le spectacle de la vie brutalement arrĂȘtĂ©e, une menace rĂ©elle qui pĂšse sur leur tĂȘte voilĂ  ce que les touristes viennent voir, comme pour toucher du doigt. Tous ces petits objets que les gens ont laissĂ© derriĂšre eux, dit une touriste australienne, ça rend les choses trĂšs rĂ©elles. Et regarder dans les appartements de ces gens, ça m’a mis mal Ă  l’aise. C’est trop tĂŽt, peut-ĂȘtre » vidĂ©o. La situation rend les touristes voyeurs presque malgrĂ© eux. Mais il semble que les visites aient pour but de prendre contact avec la vĂ©ritĂ© des faits, comme si la mĂ©diatisation de ces faits les avait dĂ©rĂ©alisĂ©s. Pour aller voir, les touristes doivent se mettre au dĂ©fi selon le protocole, ils vĂ©rifient leur taux de contamination avant de quitter le site, mais certains ont prĂ©vu de jeter tous les vĂȘtements qu’ils auront portĂ©s sur les lieux. Timbre commĂ©moratif, KoweĂŻt/Unesco 1998 Ce dĂ©sir de rencontrer le rĂ©el tranche parfois avec la dĂ©marche des organisateurs des tours. Dans le langage des professionnels du tourisme, le rĂ©el, c’est l’offre. Ainsi les intitulĂ©s accrocheurs de ces offres avancĂ©es par les auberges de jeunesse ukrainiennes Extreme Tour, Dead Tchernobyl, qui ressemblent Ă  des titres de films 10. Le guide est un conteur de la catastrophe, il raconte des histoires effrayantes sur le dĂ©sastre ». Mais il n’oublie pas de proposer d’expĂ©rimenter la paix et le silence de la ville fantĂŽme de Prypyat », avant de laisser dĂ©ambuler les Ă©mules des lieux dans les immeubles, les Ă©coles et les hĂŽtels dĂ©serts. Tchernobyl entre dans ces lieux ambigus du tourisme culturel ; certains le comparent Ă  PompĂ©i, au Ground Zero du cƓur de Manhattan, aux camps de la mort. Il entre dans les lieux du tourisme de la mort. Comprendre la catastrophe » fait partie de la dĂ©marche des livres sont proposĂ©s, pour rĂ©flĂ©chir sur les erreurs trop humaines. MalgrĂ© tout, le danger semble virtuel. Si l’on peut revenir sur les lieux, c’est que ce n’est pas la fin du monde. De proche en proche, un jeu s’établit avec l’idĂ©e de fin du monde, elle ne correspond Ă  rien de rĂ©el, on peut revenir aprĂšs... Pour ceux qui viennent aprĂšs, la mort est dĂ©passĂ©e comme dans les jeux vidĂ©os, on a regagnĂ© une vie. Les touristes pĂ©nĂštrent dans le jeu de STALKER grandeur nature, dans cette arĂšne dĂ©solĂ©e, dans l’univers semi-fictif de la zone » L’ombre de Tchernobyl, l’Appel de Prypyat... Cartes et chemins dans une folle gĂ©ographie DĂ©sir de mĂ©moire, de confrontation avec le rĂ©alisme technologique et le rĂšgne de la fin possible qu’il instaure. DĂ©sir de percevoir l’avant-goĂ»t de la fin de l’humain les lieux abandonnĂ©s, le retour Ă  la nature, et de braver ou approcher le monstre, d’ĂȘtre lĂ , prĂšs des portes de l’enfer. DĂ©sir de comprendre l’impossible Ă  comprendre. Comme toujours, les touristes reviendront chez eux comme ils en sont partis, avec des motifs variables dont l’impact fera son chemin. Pour certains, c’est se trouver plus vivant, se persuader que d’aller lĂ -bas ils ont regagnĂ© une vie. Pour d’autre, c’est prendre de quoi nourrir la colĂšre, comme le philosophe Jean-Pierre Dupuy, auteur du Retour de Tchernobyl, Journal d’un homme en colĂšre 11, dont il Ă©crit un chapitre sous l’influence du romancier Joseph Conrad Au CƓur des tĂ©nĂšbres. Il nous dit que certains laissent Ă©clater la crise de sanglots qu’ils ont rĂ©ussi Ă  contenir tout le long de la visite dans l’autocar qui les ramĂšne Ă  Kiev ». La honte de l’humanitĂ©, la nostalgie les submergent. Dupuy rapporte des images incongrues Ă  proximitĂ© de la barriĂšre qui sĂ©pare la zone interdite du monde praticable, un immense Ă©criteau dit en ukrainien La forĂȘt est le poumon de la planĂšte ». Splendide forĂȘt en vĂ©ritĂ©, Ă©crit le philosophe, faite de rĂ©sineux et de feuillus, mais slogan obscĂšne car les arbres et les sous-bois respirent ici au strontium-90 et au cĂ©sium-137, parfois au plutonium-239, lorsqu’un feu de surface consume l’humus contaminĂ©. » Et, Ă  l’entrĂ©e du musĂ©e consacrĂ© Ă  la catastrophe, une centaine de noms Ă©crits sur des bouts de tissus accueillent les visiteurs ce sont les noms des villages rayĂ©s de la carte. Reliques symboliques, vestiges dĂ©risoires. Les cartes il y aurait beaucoup Ă  dire. Elles ne parlent plus par elles-mĂȘmes, ou elles parlent par ce qui n’y figure pas, ou plus. Au bord extrĂȘme qui dĂ©limite le territoire vivant des zones mortes, quelqu’un a rapportĂ© un Ɠuf gĂ©ant, blanc, qui est posĂ© sur le bitume, comme un symbole Ă©nigmatique. Il n’est inscrit sur aucune carte. Pas inscrit non plus, le nombre des habitants 3 500 qui sont restĂ©s sur les terres dites inhabitables 400 seulement ont survĂ©cu 12. Pas inscrit non plus le nombre des avions, bateaux, camions, bulldozers, engins publics d’entretien, voitures, motos, ainsi que la quantitĂ© Ă©crasante d’outils nĂ©cessaires au fonctionnement d’un pays, qui furent abandonnĂ©s. Epilogue Fascinantes cartes. Pour parcourir les forĂȘts rousses de la BiĂ©lorussie, il faut traverser la mythique Terre des loups. C’est une absence gĂ©ographique, prise entre terres russes, ukrainiennes et biĂ©lorusses. Sur les cartes rĂ©centes, la Terre des loups est un espace vide, vert, coupĂ© en deux par une frontiĂšre rouge. Villes et villages dĂ©serts, comme les routes, ont tous Ă©tĂ© effacĂ©s 13. » Des routes conduisent Ă  des traces de ce qui, villes et villages, fut dĂ©truit et enterrĂ©. Ce n’est abordable par aucun tourisme. La zone d’exclusion biĂ©lorusse est dĂ©signĂ©e maintenant sous l’expression hallucinante de rĂ©serve forestiĂšre Ă©cologique de la radiation »... Pour rejoindre les villages enfouis dans ce trou noir de la terre, il faut aller Ă  pied, il n’y a pas de route. A pied, au risque de marcher sur une des dĂ©charges radioactives car un peu partout, incognito, tout ce qui a Ă©tĂ© dĂ©moli trop irradiĂ© a Ă©tĂ© enterrĂ© dans de profondes fosses creusĂ©es pour l’occasion par des bulldozers, eux-mĂȘmes enterrĂ©s ensuite. Ceux qui ont enterrĂ© tout cela sont eux-mĂȘmes sous terre depuis longtemps. Ici, ce sont les terres du silence. Sur ces terres irradiĂ©es pousse l’absinthe. Les tout-premiers touristes avaient payĂ© 1200 hryvnas 240 euros pour passer deux heures Ă  Prypyat ils y sont restĂ©s un quart d’heure, incapables de supporter l’éreintant silence 14. Des lessives pendaient encore aux balcons, des fenĂȘtres Ă©taient ouvertes. Tout se conjugue aux temps du passĂ©. Une photo de l’évacuation prise au printemps 1986 montre deux vieilles dames qui marchent depuis longtemps. Elles sont parties sans argent, sans leurs chiens, sans avenir. L’une porte deux sacs et un gros manteau, elle pleure. L’autre cache son visage ou s’essuie les yeux, on ne sait. Qui, dans nos pays, connaĂźt vraiment cet exode ? Les cartes de l’ancienne Russie n’en disent rien. C’est PromĂ©thĂ©e qui pleure, dans les larmes de deux vieilles femmes la statue du Titan crĂ©ateur de la race humaine, ayant volĂ© le feu aux dieux, Ă©tait au centre de Prypyat. Elle a Ă©tĂ© transportĂ©e prĂšs de l’usine nuclĂ©aire aprĂšs l’accident... Il faudra encore du temps, et encore d’autres catastrophes du mĂȘme genre, pour faire Ă©merger l’idĂ©e que dĂ©sormais l’Histoire est coupĂ©e en deux. Le temps des transuraniens, enfants indĂ©sirables de l’uranium, se compte en percussions et crĂ©pitements des compteurs Geiger. Il y a le temps d’avant le nuclĂ©aire, et le temps infini qu’il ne faut plus compter. Celui des villes et des villages disparus. Celui des gĂ©ographies troubles qui continueront d’étendre leurs zones vides. Car ces dĂ©serts isotopiques progressent. C’est le royaume des loups, 30 000 kilomĂštres carrĂ©s, la terre des poisons. Dans un rĂ©cipient en verre d’une contenance de 1 litre jus de fruits y mettre environ 400 g de fruits, ajoutez 600 gr d’alcool Ă  90°. Fermez le rĂ©cipient et attendre 1 mois, de temps en temps secouez le bocal. AprĂšs se temps rĂ©cupĂ©rez le jus et mesurez la quantitĂ© rĂ©cupĂ©rĂ©e. – Commencez par remplir un rĂ©cipient aseptisĂ© avec votre choix de fruits et de sucre. 
 – Ensuite, inondez le sucre et les fruits avec de l’eau bouillante et laissez refroidir Ă  environ 21° Celsius avant d’ajouter 1/4 de cuillĂšre Ă  cafĂ© de levure ou plus selon la quantitĂ© de fruits et de sucre que vous avez utilisĂ©e. Comment faire fermenter des fruits pour faire de l’alcool ?Comment faire de l’alcool avec de l’eau et du sucre ?Comment fabriquer de l’alcool mĂ©dical ?Comment fermenter des fruits pour faire de lalcool ?Comment fabriquer de l’alcool Ă  70 degrĂ©s ?Comment faire de l’alcool Ă  90 ?Comment faire de l’alcool Ă  45 avec de l’alcool Ă  90 ?Comment faire de la gnĂŽle maison ?Comment faire fermenter des cerises ?Quelle levure pour faire de l’alcool ?Pourquoi l’alcool Ă  90 est interdit ?Comment on fait de la vodka ?Comment fermenter des fruits pour faire de l’alcool ? Comment faire fermenter des fruits pour faire de l’alcool ? Mettre dans des cuves les fruits, aprĂšs les avoir Ă©crasĂ©s ou foulĂ©s, comme on le fait pour la vendange, dans trop casser les noyaux qui renferment un principe nuisible Ă  la fermentation. Arroser ensuite avec de l’eau, tiĂšde de prĂ©fĂ©rence, et laisser fermenter. Comment faire de l’alcool avec de l’eau et du sucre ? MĂ©langer 8 kg de sucre Ă  22 l d’eau chaude, bien diluer le sucre. Quand la tempĂ©rature est redescendue autour de 20°C, ajouter la levure, mĂ©langer, laisser fermenter dans un rĂ©cipient appropriĂ© muni d’un barboteur. AprĂšs quelques heures, la fermentation commence et le barboteur s’emballe ! Comment fabriquer de l’alcool mĂ©dical ? Dans ce but, mĂ©langez le sucre avec de l’eau tiĂšde. Vous pouvez vous servir de l’eau du robinet ou d’une eau en bouteille. La tempĂ©rature de l’eau doit ĂȘtre de 30 °C environ et la quantitĂ© de sucre comprise entre 13 et 17 kg X Source de recherche . Versez la solution dans le rĂ©cipient de fermentation. Comment fermenter des fruits pour faire de lalcool ? Mettre dans des cuves les fruits, aprĂšs les avoir Ă©crasĂ©s ou foulĂ©s, comme on le fait pour la vendange, dans trop casser les noyaux qui renferment un principe nuisible Ă  la fermentation. Arroser ensuite avec de l’eau, tiĂšde de prĂ©fĂ©rence, et laisser fermenter. Comment fabriquer de l’alcool Ă  70 degrĂ©s ? La fabrication de l’alcool destinĂ© Ă  une utilisation mĂ©dicale doit respecter des normes strictes il est synthĂ©tisĂ© Ă  partir d’un mĂ©lange d’éthylĂšne dĂ©rivĂ© du pĂ©trole et d’eau, puis il doit ĂȘtre purifiĂ© pour Ă©liminer les impuretĂ©s toxiques mĂ©thanol, acĂ©tone, mĂ©taux lourds
 et concentrĂ© par distillation. Recette Turbo » MĂ©langer 8 kg de sucre Ă  22 l d’eau chaude, bien diluer le sucre. Quand la tempĂ©rature est redescendue autour de 20°C, ajouter la levure, mĂ©langer, laisser fermenter dans un rĂ©cipient appropriĂ© muni d’un barboteur. AprĂšs quelques heures, la fermentation commence et le barboteur s’emballe ! Comment faire de l’alcool Ă  45 avec de l’alcool Ă  90 ? Mouillage. Comment lire le tableau la table indique qu’il faut ajouter 105,34 ml d’eau Ă  100 mL d’alcool Ă  90° pour obtenir de l’alcool Ă  45°. Comment faire de la gnĂŽle maison ? – PrĂ©paration d’un grog – – mettre dans un bol un petit verre de rhum ou de gnole d’acool de fruits Ă  pĂ©pins et surtout pas Ă  noyaux. – – ajouter le jus d’un citron pressĂ© – – complĂ©ter le bol avec de l’eau bouillante. Comment faire fermenter des cerises ? Dans la premiĂšre variante, les cerises sont d’abord Ă©crasĂ©es et le jus en est extrait par pression. Par la suite, on ajoute le sucre, et la levure dans le jus de cerise douce pour augmenter l’aciditĂ©, avec gĂ©nĂ©ralement de l’acide lactique. Le jus peut alors fermenter. Quelle levure pour faire de l’alcool ? Levure TURBO-8 alcoferm pour 25 l Levure TURBO-8 alcoferm pour 25 l. MĂ©lange complet avec de la levure spĂ©ciale et des sels nutritifs pour fermenter 25 litres dÂŽeau + 8kg de sucre en 5 jours jusquÂŽĂ  18%vol. Pour un produit final pur avec peu de formation en produits secondaires. LÂŽidĂ©al pour les liquoristes. Pourquoi l’alcool Ă  90 est interdit ? L’alcool Ă  90° se fait rare en pharmacie. Les principaux syndicats ont en effet appelĂ© au boycott de la vente de ce produit. Seul l’alcool utilisĂ© dans la pharmacie est exonĂ©rĂ© de taxe; celui vendu doit par contre ĂȘtre taxĂ©. 
 Comment on fait de la vodka ? Alcool issu de la distillation d’un moĂ»t fermentĂ©, Ă©laborĂ© Ă  partir de cĂ©rĂ©ales blĂ©, orge, seigle, maĂŻs, de mĂ©lasse de betterave Ă  sucre, de pomme de terre mais aussi de toute autre matiĂšre premiĂšre d’origine agricole. La vodka, titrant Ă  96%, est ensuite ramenĂ©e entre 35 et 50% par l’adjonction d’eau de source. Comment fermenter des fruits pour faire de l’alcool ? Mettre dans des cuves les fruits, aprĂšs les avoir Ă©crasĂ©s ou foulĂ©s, comme on le fait pour la vendange, dans trop casser les noyaux qui renferment un principe nuisible Ă  la fermentation. Arroser ensuite avec de l’eau, tiĂšde de prĂ©fĂ©rence, et laisser fermenter. N’oubliez pas de partager l’article ! La canne Ă  sucre nom anglais sugar cane est un bloc qui pousse toujours prĂšs de l'eau. Obtention[] La canne Ă  sucre se mine instantanĂ©ment sans outil. Si le bloc sur lequel pousse la canne Ă  sucre n'est plus adjacent Ă  un bloc d'eau, elle se dĂ©truit et tombe sous forme d'objet. Dans la version Bedrock elle se dĂ©truit immĂ©diatement aprĂšs que le bloc d'eau ait disparu, tandis que dans la version Java il faut attendre qu'un bloc voisin soit mis Ă  jour ou qu'elle essaie de pousser. Elle se casse Ă©galement si un piston essaie de la pousser le tirer ne fait rien ou si un piston pousse un autre bloc Ă  sa place. GĂ©nĂ©ration naturelle[] Les cannes Ă  sucre apparaissent naturellement sur des blocs de terre, d'herbe, de sable, de sable rouge, de terre stĂ©rile ou de podzol adjacents Ă  des sources d'eau, il n'y a pas de restriction pouvant mĂȘme pousser dans le biome enneigĂ©e Ă  cĂŽtĂ© de la glace. De la mĂȘme maniĂšre, il est possible d'en rencontrer naturellement sous terre, ce qui est tout aussi rare, puisque cela demande de trouver les blocs de terre voisins Ă  un cours d'eau. Elles se gĂ©nĂšrent naturellement de hauteur de blocs 2 11⁄18, 3 5⁄18 et 4 2⁄18. Ces plants de canne Ă  sucre plus grand peuvent apparaĂźtre lors de la gĂ©nĂ©ration du monde si deux petites canne Ă  sucre sont gĂ©nĂ©rĂ©es l'une sur l'autre. Elles essaient de se gĂ©nĂ©rer 10 fois dans n'importe quel biome du monde normal, 20 fois dans les marais et 60 fois dans les dĂ©serts. Elles sont donc deux fois plus frĂ©quentes dans les marais et six fois dans les dĂ©serts, ce qui est compensĂ© car il y a moins d'eau dans les dĂ©serts. Commerce[] Un marchand ambulant peut vendre de la canne Ă  sucre pour une Ă©meraude. Utilisation[] La canne Ă  sucre peut ĂȘtre utilisĂ©e pour crĂ©er des chemins sous-marins, permettant aux joueurs de se dĂ©placer Ă  une vitesse normale et de respirer. La canne Ă  sucre prend une nuance de vert diffĂ©rente selon le biome dans lequel elle se trouve. Fabrication[] Nom IngrĂ©dients Fabrication Description Papier Canne Ă  sucre 3 Sucre Canne Ă  sucre Pour dĂ©bloquer cette recette de fabrication dans le livre de recettes, il faut obtenir de la canne Ă  sucre dans l’inventaire. Compost[] Placer une canne Ă  sucre dans un composteur Ă  50% de chance d'augmenter le niveau de 1. Culture[] Plantation[] Une culture de canne Ă  sucre dans un biome de type toundra. La canne Ă  sucre doit ĂȘtre plantĂ©e sur un bloc d’herbe, de terre, de podzol, de terre stĂ©rile, de sable ou de sable rouge adjacent Ă  un bloc ou Ă  un courant d’eau elle ne peut pas ĂȘtre placĂ©e sur les blocs en diagonale, au-dessus ou en-dessous de l'eau. Tout comme les pousses d'arbre, la canne Ă  sucre ne peut pas ĂȘtre plantĂ©e sur de la terre labourĂ©e. Le meilleur ratio de plantation 80 % est obtenu en utilisant l'une des dispositions suivantes Cette disposition peut ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e afin d’étendre Ă  volontĂ© la surface de la plantation Recouvrir les blocs d’eau de son champ par d’autres blocs opaques ou transparents n’empĂȘche ni la plantation ni la pousse de la canne-Ă -sucre, il est donc intĂ©ressant de les recouvrir par des dalles ou plus rationnellement, avec des nĂ©nuphar ou des tapis. Cela permet d’effectuer la rĂ©colte sans tomber dans les trous d’eau. Croissance[] La canne Ă  sucre grandit jusqu'Ă  une hauteur maximale de trois blocs en grandissant de 1 bloc environ toutes les 18 minutes. Plus prĂ©cisĂ©ment, elle doit recevoir 16 tick alĂ©atoires pour pousser, comme pour le cactus, le bambou et l'algue. L’apparition d’un bloc de canne Ă  sucre n’est possible que si un espace d’un bloc vide est disponible juste au dessus. La canne Ă  sucre n'a pas besoin de lumiĂšre pour pousser. De mĂȘme que les pousses d'arbre, le blĂ© et les cactus, la canne Ă  sucre ne grandit que si le tronçon sur lequel elle se trouve est chargĂ© en mĂ©moire. Sur la version Bedrock, la poudre d'os est utilisable sur la canne Ă  sucre, qui la fait pousser au maximum. RĂ©colte[] La façon la plus commune de rĂ©colter la canne Ă  sucre est de la frapper Ă  mains nues ou avec n'importe quel outil. Une fois arrivĂ©e Ă  3 blocs de haut, frapper le bloc du milieu permet de rĂ©colter 2 blocs de canne Ă  sucre sans avoir Ă  replanter. La mĂ©thode de rĂ©colte automatique la plus rĂ©pandue allie l'utilisation de pistons Ă  celle de courants d'eau. L'activation des pistons placĂ©s Ă  mi-hauteur de la canne Ă  sucre faisant tomber les deux blocs supĂ©rieurs de la plante dans le courant d'eau qui centralise la rĂ©colte en un endroit unique, facilitant son ramassage. Sons[] Version Java SonSous-titreSourceEspace de nom d'IDClef de traductionVolumePitchDistanced'attĂ©nuation 1] 1] du sur le ↑ a et b Version Bedrock SonSourceEspace de nom d'IDVolumePitch? ? ? ? ? ? ? États de blocs[] Nom de l'Ă©tats Description Valeur de l'Ă©tat Blocs age Âge du bloc 0 - 15 Feu Cactus Canne Ă  sucre Historique[] Version Java Alpha roseau l'ancien nom donnĂ© Ă  la canne Ă  sucre a Ă©tĂ© ajoutĂ© dans la Seecret Friday Update 6 et Ă©tait appelĂ© bambou ou papyrus par beaucoup de joueurs. Puisque les roseaux peuvent ĂȘtre emportĂ©s par le courant de l'eau ou dĂ©truits immĂ©diatement en retirant la source d'eau qui leur permet de pousser, des fermes Ă  roseaux automatisĂ©es pouvaient donc ĂȘtre faites dans les versions prĂ©cĂ©dentes. Version Java BĂȘta a modifiĂ© le nom des roseaux en canne Ă  sucre car il avait besoin d'une source de sucre pour les gĂąteaux qu'il avait promis. de l'interaction avec les projectiles, les flĂšches passent Ă  travers au lieu de rester accrochĂ©es. Toutefois, les boules de neiges continueront Ă  se dĂ©truire au contact de la canne Ă  sucre comme si c'Ă©tait un bloc solide. canne Ă  sucre peut maintenant ĂȘtre placĂ©e et pousser sur le sable tant qu'elle est en contact avec une source d'eau. Cette mise Ă  jour permet Ă  la canne Ă  sucre d'apparaĂźtre prĂšs des sources d'eau des dĂ©serts. Version Java couleur de la canne Ă  sucre varie en fonction des biomes. 13w37aL'ID de bloc de la canne Ă  sucre 83 a Ă©tĂ© supprimĂ© de la commande /give. canne Ă  sucre ne se dĂ©truit plus si l'eau adjacente se transforme en glace givrĂ©e. passe de reeds Ă  nom anglais de la canne Ă  sucre passe de Sugar Canes » Ă  Sugar Cane ». La texture de l'objet de canne Ă  sucre a changĂ©. 19w03aPlacer une canne Ă  sucre dans un composteur Ă  20% de chance d'augmenter le niveau de 1. 19w05aPlacer une canne Ă  sucre dans un composteur Ă  maintenant 50% de chance d'augmenter le niveau de 1. Version portable Alpha de la canne Ă  sucre. canne Ă  sucre peut dĂ©sormais pousser sur le sable. couleur de la canne Ă  sucre varie en fonction des biomes. 1Il n'est dĂ©sormais plus possible de rĂ©cupĂ©rer de la canne Ă  sucre avec le rĂ©acteur du Nether. Version portable 1La couleur de la canne Ă  sucre ne varie plus en fonction des biomes Ă  cause d'un bug. Version Bedrock couleur de la canne Ă  sucre varie Ă  nouveau en fonction des biomes. Version console 1Ajout de la canne Ă  sucre. C'est un bloc solide, le rendant utile pour crĂ©er des murs qui poussent naturellement. TU2La canne Ă  sucre n'est dĂ©sormais plus un bloc solide. Les flĂšches peuvent donc dĂ©sormais passer Ă  travers. 3La couleur de la canne Ă  sucre varie en fonction des biomes. Notes diverses[] La canne Ă  sucre n'est pas inflammable et rĂ©siste Ă  la lave et Ă  l'eau. Elle peut bloquer les flux de lave et d'eau et lorsqu'un de ces fluides touche un bloc de canne Ă  sucre par le dessus, il s'Ă©coule exactement de la mĂȘme maniĂšre qu'avec un autre bloc. Ni la canne Ă  sucre ni le bloc sur lequel elle se trouve ne peuvent ĂȘtre enflammĂ©s avec un briquet. En plaçant toujours plus de cannes Ă  sucre sur le dessus d'une canne Ă  sucre, il est possible de crĂ©er des cannes Ă  sucre qui vont jusqu'Ă  256 blocs de haut. Cependant, elle ne poussera pas naturellement. PlantĂ©e sous l'eau, la canne Ă  sucre crĂ©e une poche d'air, il est donc possible d'en faire des poches d'air ou des passages sous-marins. Galerie[] Un exemple de ferme souterraine de canne Ă  sucre. Un amĂ©nagement est fait pour que chaque bloc soit adjacent Ă  de l'eau. Une canne Ă  sucre de hauteur 4 un bug similaire peut ĂȘtre rencontrĂ© sur la carte de seed 2012 », prĂšs du point d'origine. Un cas inhabituel d'arbre poussant sur une canne Ă  sucre. Une grande ferme de canne Ă  sucre basĂ©e sur des carrĂ©s d'eau de 2×2. De la canne Ă  sucre rencontrĂ©e naturellement sous terre. Un puits de lumiĂšre gĂ©nĂ©rĂ© par une pile de canne Ă  sucre. Avant la sortie de la BĂȘta les flĂšches ne traversaient pas les blocs de canne Ă  sucre. RĂ©fĂ©rences[] Le Malt de la cĂ©rĂ©ale Ă  la biĂšre PubliĂ© le 6 mai 2016 Jeune brasseur, il est temps maintenant de te parler de cet ingrĂ©dient indispensable Ă  la crĂ©ation de toute biĂšre le Malt ! C’est quoi ? Comment on le fabrique ? Quel est son rĂŽle dans le processus de crĂ©ation de la biĂšre ? Et comment l’utiliser dans tes recettes ? A la fin de cet article, tu seras capable de diffĂ©rencier les diffĂ©rents malts et de les sĂ©lectionner en fonction du rĂ©sultat final attendu de ta biĂšre. Le Maltage comment et pourquoi ? Pour commencer, le malt c’est une cĂ©rĂ©ale qui a Ă©tĂ© germĂ©e puis sĂ©chĂ©e. Il faut savoir que la biĂšre peut-ĂȘtre brassĂ©e avec toutes les cĂ©rĂ©ales qui contiennent de l’amidon et c’est pour ça que partout oĂč elles poussent il y a un type de biĂšre avec du malt de blĂ©, de maĂŻs, de riz, de millet, de seigle, d’avoine, de sorgho
 Historiquement en Europe, on a eu tendance Ă  utiliser plus facilement le malt d’orge plutĂŽt que le malt de blĂ© car l’orge est naturellement plus riche en amidon et il possĂšde un pouvoir enzymatique supĂ©rieur. Et puis, quand les rĂ©coltes Ă©taient mauvaises ou en cas de famines, on rĂ©servait le blĂ© pour la fabrication du pain, restait donc l’orge pour la biĂšre ! 1. PrĂ©paration du grain Le grain d’orge est nettoyĂ©, triĂ©, calibrĂ© on ne garde que les meilleurs grains pour faire les meilleures biĂšres ! 2. Trempage des grains Cette Ă©tape est nĂ©cessaire pour apporter l’humiditĂ© indispensable Ă  la germination de ce grain 3. Germination La germination permet d’activer les enzymes grosses molĂ©cules de la famille des protĂ©ines qui sont naturellement contenues dans le grain d’orge. Il faut savoir que toutes les cĂ©rĂ©ales n’ont pas la mĂȘme richesse en enzymes, cela varie aussi en fonction des variĂ©tĂ©s d’orge. On dit d’une cĂ©rĂ©ale contenant beaucoup d’enzyme qu’elle a un pouvoir diastasique ou enzymatique Ă©levĂ© ce qui permet d’accĂ©lĂ©rer le processus de fermentation et permet un meilleur rendement car une meilleure exploitation de l’amidon on en retire plus de sucre. 4. Touraillage C’est la touche finale Ă  notre processus de Maltage le grain germĂ© est d’abord chauffĂ© Ă  basse tempĂ©rature environ 45°C ce qui permet d’éliminer les derniĂšres traces d’humiditĂ©, puis il subit le coup de feu » qui est la mise en tempĂ©rature Ă©levĂ©e 150°C ce qui permet la fameuse rĂ©action de Maillard » qui va confĂ©rer au grain sa couleur plus ou moins brune et permet le dĂ©veloppement d’arĂŽmes. Un touraillage plus intense va donner des malts torrĂ©fiĂ©s. Pour faire simple, la rĂ©action de Maillard c’est lorsque sous l’effet de la chaleur, des protĂ©ines, du sucre et de l’eau vont se lier pour former des composĂ©s aromatiques bruns. Si tu souhaite approfondir le sujet Pourquoi ne pas simplement utiliser le grain d’orge cru ? Tu peux faire le test si tu veux, mais je t’assure qu’il ne se passera rien
Pas de brassage, pas de fermentation
 tu obtiendras peut-ĂȘtre au mieux de l’eau aromatisĂ©e
 Pour faire une biĂšre, tu dois utiliser des ingrĂ©dients qui contiennent de l’amidon, et l’amidon c’est une longue chaĂźne de molĂ©cules de glucose de sucre. Or tu sais dĂ©jĂ  que le sucre est la nourriture des bactĂ©ries qui vont ensuite l’utiliser pour produire du CO2 et de l’alcool lors de la phase de fermentation. Il se trouve que l’orge est trĂšs riche en amidon ! Mais pour que les levures puissent dĂ©tĂ©riorer ces molĂ©cules de glucose, il va falloir briser les chaĂźnes qui les relient les unes aux autres, et ça c’est le job des Enzymes ! VoilĂ  pourquoi le maltage est essentiel il permet l’activation des enzymes contenues naturellement dans le grain d’orge, ces enzymes pourront ensuite couper les chaĂźnes qui relient les molĂ©cules de glucose entre elles afin de permettre l’action des levures et donc la fermentation. Et ce n’est pas tout ! Le Maltage colore le grain ce qui a une influence directe sur le type de biĂšre rĂ©alisĂ©. Et c’est ce qui permet cette grande variĂ©tĂ© de biĂšres car en plus d’ĂȘtre colorĂ©, le grain gagne en arĂŽmes tels que celui du cafĂ©, du chocolat, des pralines
Le maltage est ce qui dĂ©terminera la couleur de la biĂšre finale de trĂšs pale Ă  brune en passant par ambrĂ©e. D’ailleurs, sache que les malts sont souvent classĂ©s en fonction de leur couleur qui est exprimĂ©e selon l’échelle EBC en Europe European Brewery Convention ou SMR Standard Reference Method dans le monde. Quel malt pour quelle biĂšre ? On classe donc gĂ©nĂ©ralement le malt en fonction de sa couleur ou de sa nature, ce classement te permet jeune brasseur de les choisir en fonction de la biĂšre que tu souhaites fabriquer Les Malts de base A la base de toutes les recettes avec du malt en grain Peuvent ĂȘtre utilisĂ©s pour 100% de la totalitĂ© du malt de la recette. Entre 2 et 20EBC Pour fabriquer des blondes Ales ou Lager, Pale Ale, IPA, Pilsen Noms de malt Pilsener, Pale, Maris Otter Malt, Golden Promise Malt, Vienna malt, Munich Les Malts Caramel Couleur ambrĂ©e, goĂ»t de caramel, miel, biscuit. Permettent de donner du corps Ă  la biĂšre et une meilleure tenue de la mousse car riches en protĂ©ines. UtilisĂ©e pour 5 Ă  25% de la totalitĂ© du malt de la recette. Entre 20 et 400EBC Pour des biĂšres ambrĂ©es, Red Ales, Brown Ales, biĂšres brunes ou Stout pour les plus foncĂ©s
 Noms de malt CaraMunich, CaraAmber, CaraRed, CaraBelge, CaraHell
 Les Malts TorrĂ©fiĂ©s GoĂ»t de noisette, cafĂ©, chocolat, cĂ©rĂ©ales grillĂ©es, Ă©pices. Couleur brun foncĂ© Ă  noir. UtilisĂ©s gĂ©nĂ©ralement en petites quantitĂ©s 1 Ă  5% de la totalitĂ© du malt. Entre 70 et 1500EBC Pour des Stout, Porter, Brown Ales
 Noms de malt Brown Malt, Malt Carafa special, Chocolate Malt, Coffee Malt, Black Malt
 Les Malts de blĂ© Peuvent servir de base pour des biĂšres de blĂ© ou de seigle, goĂ»t plus acidulĂ©. Utilisable jusqu’à 80% de la totalitĂ© du malt avec du malt d’orge. 4 Ă  1200EBC Pour des biĂšres blanches, ambrĂ©es en fonction de la couleur du malt choisi malt de blĂ© clair ou torrĂ©fiĂ© Noms de malt Wheat malt, Chocolate wheat malt, Carawheat
 Les Malts SpĂ©ciaux Malt tourbĂ© pour donner un goĂ»t fumĂ© Ă  la biĂšre, typique des Ecossaises ou certaines biĂšres Allemandes, pas plus de 5% de la totalitĂ© du Malt. Malt Whisky
 Malt diastasique un malt d’orge riche en enzymes pour augmenter la proportion de sucres fermentescibles dans le moĂ»t, utilisable jusqu’à 50%. Malt de seigle donne un goĂ»t typique de seigle Ă  la biĂšre, utilisable jusqu’à 60% de la totalitĂ© du malt, pour des biĂšres dites spĂ©ciales. Existe en pale, caramĂ©lisĂ© et torrĂ©fiĂ© pour un goĂ»t encore plus prononcĂ©. Sache qu’en plus de choisir la variĂ©tĂ© de Malt qui te convient, tu peux aussi t’intĂ©resser Ă  la façon dont tu vas les intĂ©grer Ă  ta recette soit concassĂ©s pour l’empĂątage, soit utilisĂ©s en infusion dans l’eau qui servira ensuite au brassage pour rĂ©cupĂ©rer les principaux arĂŽmes Ă  toi de choisir et de t’amuser ! Selon les recettes, on utilise environ 2,5kg de malt pour rĂ©aliser 10L de biĂšre, mais pour les biĂšres dites “double” ou “triples” ces quantitĂ©s vont ĂȘtre augmentĂ©es mais pas doublĂ©es ni triplĂ©es ;- ce qui donnera des biĂšres plus complexes en goĂ»t, avec plus de caractĂšre, et un degrĂ© d’alcool plus Ă©levĂ©. A l’origine les appellations “double” et “triple” viennent de la tradition monastique, les moines utilisaient ces termes pour diffĂ©rencier leurs biĂšres. Les simples, plus faibles en alcool environ 3%, Ă©taient rĂ©servĂ©es Ă  la consommation de tous les jours, aux pĂ©lerins et aux pauvres. Les doubles 6% d’alcool Ă©taient rĂ©servĂ©es quand Ă  elles pour les repas des moines, et les triples, plus riches en malt, en sucre mais aussi en alcool environ 9% Ă©taient rĂ©servĂ©es aux hĂŽtes de prestige. A l’époque, les moines indiquaient la force d’une biĂšre Ă  l’aide de croix sur le tonneau X pour simple, XX et XXX pour double et triple. Et l’extrait de malt, ça marche aussi ? En tant qu’apprenti Brasseur, tu peux choisir de te tourner vers des extraits de malt plus pratique car ils permettent d’éviter les Ă©tapes laborieuses du concassage et de l’empĂątage pour passer directement Ă  la cuisson du moĂ»t puis au houblonnage. Donc l’extrait de malt qu’on trouve dans le commerce c’est du malt qui a Ă©tĂ© broyĂ©, puis chauffĂ© avec de l’eau, parfois on y a ajoutĂ© un peu de sucre, Ă  toi de bien lire l’étiquette. Qu’il soit en poudre ou liquide, en gĂ©nĂ©ral il est classĂ© selon le type de biĂšre qu’il produit extrait de malt trĂšs pĂąle, pĂąle, ambrĂ© ou foncĂ©. Tu peux mĂȘme trouver de l’extrait de malt dĂ©jĂ  houblonnĂ©, ce qui t’évite d’avoir Ă  rajouter toi-mĂȘme du houblon dans ta prĂ©paration. Bon, on va pas te cacher que l’extrait de malt, c’est bien, mais ça manque un peu de fun car l’avantage d’utiliser du malt en grain et de houblonner toi-mĂȘme ta crĂ©ation, c’est que tu choisis minutieusement tes ingrĂ©dients de A Ă  Z en fonction du rĂ©sultat que tu souhaites obtenir, tu as plus de libertĂ©s pour jouer avec les diffĂ©rents goĂ»ts et textures, et ça c’est sympa ! Mais, l’extrait de malt te permet de commencer en douceur dans le processus d’apprenti brasseur. VoilĂ , tu sais maintenant tout sur le Malt et son rĂŽle dans la fabrication de ta biĂšre. Tu es maintenant capable de crĂ©er ta propre recette en choisissant ton ou tes malts ! Tu peux nous suivre sur les rĂ©seaux sociaux pour ne rien rater de notre actualitĂ© et qui sait, peut ĂȘtre que la prochaine recette que nous te proposerons sera Ă  base de malt en grain ? Le sucre est prĂ©sent dans les produits alimentaires sous de nombreuses formes. De ce fait, il possĂšde aussi de nombreux noms qui ne ressemblent pas pour la plupart au mot d’origine sucre ». Comment faire pour dĂ©tecter la prĂ©sence de sucres ajoutĂ©s dans un produit ? DĂ©couvrez les 52 appellations qui doivent nous alerter sur la prĂ©sence de sucre dans un produit. Une liste Ă  garder prĂ©cieusement lors de vos prochaines courses ! Les diffĂ©rents noms du sucre Ă  connaĂźtre pour le dĂ©tecter sur les Ă©tiquettes alimentaires 1 Les sucres sous ses diffĂ©rentes formes Sucre bien sĂ»r! Jusque lĂ  c’est facile !,Sucre de canne,Sucre de betteraveSucre brut,Sucre en poudre,Sucre inverti,Cassonade,Caramel, 2 Tous les sirops Sirop,Sirop d’agave,Sirop d’amidon,Sirop de canne Ă  sucre Ă©vaporĂ©,Sirop de caroube,Sirop de datteSirop d’érableSirop de glucoseSirop de fructose,Sirop de glucose-fructoseSirop de froment =sirop de blĂ©,Sirop de maĂŻsSirop de maĂŻs Ă  haute teneur en fructoseSirop de malt,Sirop de riz,Sirop de sorgho
 3 Les noms en “ose” Tous les noms qui finissent en “ose” sont des sucres Dextrose,Fructose,Galactose,Glucose,Lactose,Maltose,SaccharoseXylose
 4 La canne Ă  sucre et ses dĂ©rivĂ©s Canne Ă  sucre,Jus de canne Ă  sucre,Jus de canne Ă©vaporĂ©,Sucre de canne,Sucanat =sucre de canne complet
 5 Les p’tits malins AmidonAmidon modifiĂ©Amidon gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©DextrineDextraneExtrait de malt d’orgeMaltodextrineMalt diastasiqueMĂ©lasse 6 Les sucres naturels AgaveSirop d’agaveNectar d’agaveÉrableSirop d’érableMiel Le conseil de la diĂ©tĂ©titicienne Vous l’avez vu il existe des dizaines de noms pour dĂ©signer le sucre et ses dĂ©rivĂ©s sur les Ă©tiquettes des ingrĂ©dients. Voici mes conseils pour s’y retrouver et mieux consommer PrĂ©fĂ©rez autant que possible les produits alimentaires “sans sucre ajoutĂ©â€. A dĂ©faut, prĂ©fĂ©rez les produits contenant des sucres les moins raffinĂ©s possible miel, agave, Ă©rable, sucre de coco
 et limitez autant que vous le pouvez les sucres transformĂ©s ou modifiĂ©s tous les autres.Pour ne pas se faire avoir, il est indispensable de regarder les listes d’ingrĂ©dients. Enfin, rappelez-vous consommer plus d’aliments frais, non transformĂ©s et de l’eau plate reste la meilleure façon de rĂ©duire considĂ©rablement notre consommation de sucres cachĂ©s. Prenez donc soin de cuisiner autant que possible fait-maison et de privilĂ©gier les aliments frais et non transformĂ©s. A la recherche d’un programme complet pour rĂ©duire le sucre dans votre alimentation ? DĂ©couvrez mon livre “1 mois pour se libĂ©rer du sucre” sorti aux Editions Hachette ! Vous pouvez le commander sur Amazon ou le retrouver dans la plupart des magasins FNAC, Cultura, Leclerc
 et librairies. Plus d’informations dans mon article “1 mois pour se libĂ©rer du sucre” le livre pour arrĂȘter le sucre en 28 jours. RĂ©agissez Ă  l'article en commentaires !

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