LIle-Saint-Denis : à 83 ans, Messaouda va tourner avec Maïwenn Cette habitante de la cité Maurice-Thorez a obtenu un rôle dans le prochain film de Maïwenn. L’ILe-Saint EquipementsL'Ile-Saint-Denis. Voici la liste des écoles élementaires et maternelles localisées sur la commune de L'Ile-Saint-Denis. Liste des équipements de la commune . Vous souhaitez trouver un équipement ou un endroit pour la pratique du judo, de la danse, de la musculation ou encore de sports d'équipes comme le volley, le basket ou le foot à L'Ile-Saint-Denis, voici la Howto get to Cité Maurice Thorez by Bus? Click on the Bus route to see step by step directions with maps, line arrival times and updated time schedules. From IPSOS, Gentilly 82 min; From Stade de France A To J, Saint-Denis 65 min; From Musée D'Orsay, Paris 65 min; From McCann Paris, Clichy 94 min; From Casino de Paris, Paris 73 min; From L CitéMaurice Thorez Immobilier Rue MAURICE THOREZ L'Ile-Saint-Denis. Immobilier : Prix au M² et nombre de ventes pour les appartements et maisons de Rue MAURICE THOREZ L'Ile-Saint-Denis Année. Appartement Prix moyen AL'ILE-SAINT-DENIS, la cité Maurice-Thorez continue à se mobiliser suite au décès tragique, mardi soir, du petit Ahmed, 5 ans, qui s'est noyé dans la Seine, à deux pas de chez lui, après Ici vous avez la possibilité de vous déplacer en métro ou rer, la station Cimetiere De L'ile-saint-denis est à une distance de 0,11 km du Cite Maurice Thorez, 93450 L'Île-Saint-Denis . Enfin, KTvrYF. De nombreuses villes d’Île-de-France ont prévu des spectacles pyrotechniques les 13 et 14 juillet. BFM Paris Île-de-France vous a préparé une sélection de villes ou vous avez le feu d’artifice de la fête nationale. Les communes d’Île-de-France sont apparues de bleu, blanc et rouge cette semaine à l’occasion de la fête nationale. Si la plupart des municipalités ont prévu des animations ces 13 et 14 juillets, certaines ont vu les choses en grand et proposent un feu d’artifice pour l’occasion. Alors où voir ces spectacles son et lumière dans la région ? Paris La capitale offrira bien entendu le traditionnel feu d’artifice que j’ai lancé plus tard la Tour Eiffel et les Jardins du Trocadéro. Les spectateurs pourraient se rassembler sur le Champ de Mars pour admirer le spectacle d’une trentaine de minutes sur le thème de la liberté. Le spectacle, gratuit et sans réservation, sera accompagné d’un concert symphonique au pied de la tour Eiffel. Il est conseillé de venir trois à l’avance pour attendre une place. Attention, en raison du feu d’artifice, la préfecture de police de Paris a poursuivi la fermeture de plusieurs stations de métro et RER. La RATP indique sur le site que la station Trocadéro est susceptible d’être fermée dès 19h sur les lignes 6 et 9. Les stations Passy, ​​Boissière, Bir-Hakeim, Ecole militaire, Alma-Marceau, Pont de l’Alma, Champ de Mars-Tour Eiffel pourrait également être fermée sur les lignes 6, 8, 9 et sur la ligne C du RER. Seine-et-Marne MELUN Le feu d’artifice sortira le 13 juillet après le parking de la piscine, vers 23h. Il sera visible après les bords de Seine, du côté de la promenade des Vaux. Une soirée dansante est également prévue place Praslin à partir de 19h, avec un bal pour les enfants et une guinguette pour les adultes, même si les food-trucks sont rétablis. CHELLES les Chellois pourraient admirer ce 13 juillet depuis la Montagne de Chelles un feu d’artifice sur le thème du sport. Le spectacle commence à partir de 23h. SAVIGNY-LE-TEMPLE rendez-vous dans le parc du Domaine de la Grange-la Prévôté pour le feu d’artifice, que sera à la tombée de la nuit. Des animations sont également diffusées dès 16h30 dans le parc du château, et des food-trucks seront présents pour ceux qui voudraient pique-niquer dans le parc. BAILLY ROMAINVILLIERS Les festivités sont organisées par le Parvis de l’école des Alizés le 13 juillet. Le feu d’artifice sur le thème du cinéma commence à 23h. L’espace restauration sera ouvert à partir de 19h30, avec des animations musicales à partir de 21h et un bal avec un DJ après le feu d’artifice. Un feu d’artifice aura également lieu le 13 juillet dans les communes de Provins et Pontault-Combault. Yvelines VERSAILLES La programmation estivale des Grandes Eaux Nocturnes est adaptée à partir du 14 juillet pour proposer une grande déambulation de 2h30 dans les jardins du château, clôturée par un feu d’artifice. Attention, contrairement à beaucoup de feux d’artifices que sont des événements gratuits, il faut pour celui-ci ammunir d’un ticket, puisqu’il a lieu dans le cadre du programme d’été du château. MANTES LA JOLIE Rendez-vous sur les bords de Seine ce mercredi 13 juillet, pour admirer le feu d’artifice à partir de 23h. Les festivités ont commencé un peu plus tot dans la soirée, avec une distribution de lampions au square Brieussel-Bourgeois à 22h. Le feu d’artifice sera suivi d’un bal populaire sur la place Saint-Maclou. RAMBOULLET le feu d’artifice du 13 juillet aura lieu dans le parc du château à partir de 22h45 et ce sera suivi d’un bal guinguette sur la place Félix Faure. Une cérémonie patriotique aura également lieu à 17h30 au monument aux morts. PLAISIR Début des festivités dans le parc du Château Mercredi, le 13 juillet à 21h00 Le feu d’artifice sur le thème de l’opéra et des comédies musicales sera tourné à partir de 23h. Deux food-trucks seront également présents. Des feux d’artifice sont également prevus 13 juillet à Triel-sur-Seine, Houdan, Guyancourt, Marly-le-Roi, Trappes, Conflans-Sainte-Honorine, Houilles, Poissy, Les Mureaux et Saint-Germain-en-Laye . Essonne ÉVRY-COURCOURONNES les festivités passeront en deux temps. Le traditionnel feu d’artifice sortira le 14 juillet à partir de 23h et sera visible après le parc du lac. La veille, le défilé républicain aura lieu à partir de 18h00 sur le boulevard Georges-Pompidou, et le grand bal commencera à 20h00 au square Jean-Paul II. PALAIS le feu d’artifice est prévu le mercredi 13 à 23h au stade Georges Collet. Il sera suivi d’une soirée dansante. CORBEIL-ESSONNES Une déambulation à partir de 22h30 après la place Comte-Haymon se terminera sur les bords de Seine pour admirer le feu d’artifice à partir de 23h. Des animations sont diffusées dès 19h sur la place Comte-Haymon avec bal populaire et performances d’artistes locaux. Des feux d’artifice auront également lieu mercredi 13 juillet aux Ulis, à Viry-Châtillon, Savigny-sur-Orge et Draveil. A Etampes, le feu d’artifice est organisé le 14 juillet. Hauts de Seine ANTOINE Rendez-vous mercredi 13 juillet au parc de la Noisette à partir de 23h pour le feu d’artifice. Le bal des pompiers débute dès lundi à 21h00 et un peu après 4h00 du matin à la Caserne d’Antony. LEVALLOIS-PERRET le feu d’artifice sur le thème du voyage sera tourné le 13 juillet après le pont de Levallois vers 23h. Ça dure une vingtaine de minutes. La municipalité conseille de s’installer sur les berges, entre la rue du Président-Wilson et la rue Anatole-France pour bien voir le spectacle. BAGNEUX le feu d’artifice pourra être admiré mercredi 13 à partir de 23h après la plaine Maurice-Thorez. Le spectacle pyrotechnique sera accompagné de chansons mythiques depuis les années 50 jusqu’à aujourd’hui. Un bal popularra commence à 20h sur la place Dampierre. RUEIL-MALMAISON le feu d’artifice sera tourné à partir de 23 h le mercredi 13. Les portes du parc de Bois-Préau ouvriront à partir de 20 h pour avoir la meilleure place pour admirer le spectacle. ISSY-LES-MOULINEAUX le feu d’artifice du 13 juillet a cette année pour thème “les retrouvailles”. Les spectateurs pourraient venir l’admirer à 22h30 dans le parc départemental de l’Ile Saint-Germain. Le feu d’artifice sera précédé du traditionnel défilé aux lampions à travers le parc à partir de 21h45. Attention, l’entrée au parc sera uniquement du côté de l’avenue Jean-Monnet. La municipalité indique également que les sacs à dos, sacs de sport et valises seront interdits dans le parc en raison du plan Vigipirate renforcé. D’autres feux d’artifice seront tirés le soir du 13 juillet à Vanves, Asnières-sur-Seine, Clichy, Gennevilliers, Suresnes, Boulogne-Billancourt, Courbevoie, Colombes, Montrouge et Nanterre. À Puteaux, Châtenay-Malabry et Clamart, le feu d’artifice aura lieu le soir du 14 juillet. Seine-Saint-Denis SAINT DENIS le traditionnel feu d’artifice aura lieu mercredi 13 au parc de la Légion d’honneur à 23h. Le spectacle devrait durer trente minutes. Le parc sera quant à lui ouvert à 18h pour un apéro en musique suivi d’un pique-nique. BAGNOLET Rendez-vous au parc de la Briqueterie à 22h45 le mercredi 13 juillet pour l’artifice. L’accès au parc est ouvert pour les entrées côté rue Raspail, rue Sadi-Carnot et rue Jeanne-Hornet. BOBIGNY le feu d’artifice est prévu mercredi 13 au parc de la Bergère à 23h. Il aura pour thème les 200 ans du canal de l’Ourcq. Pour des raisons de sécurité, la passerelle et les berges du canal seront fermées à partir de 21h00 pour la mise en place d’un périmètre. Il est donc conseillé d’arriver au parc avant cette heure. AUBERVILLIERS le rendez-vous est donné mercredi soir au parc Eli Lotar vers 22h30 pour le feu d’artifice d’environ vingt minutes. Des animations sont également diffusées le 14 juillet au parc Stalingrad, avec balades à poney, guinguette et jeux pour enfants. CULOTTE le feu d’artifice aura lieu le jour de la fête nationale sur les bords du canal de l’Ourcq à la place de la Pointe. Début du spectacle à 23h. Un bal musette est proposé à partir de 19h00, suivi d’un orchestre à 20h30 et d’un DJ à 21h00. Des feux d’artifice sont programmés le 13 juillet à Aulnay-sous-Bois, Drancy, Dugny, Epinay, Livry-Gargan, Montfermeil, Neuilly-sur-Marne, Noisy-le-Grand, Noisy-le-Sec, Rosny-sous – Bois, Stains et Villetaneuse. À Clichy-sous-Bois, le feu d’artifice aura lieu le soir du 14 juillet. Val de Marne VILLEJUIF le feu d’artifice aura lieu mercredi de 13h à 23h au Parc départemental des Hautes-Bruyères. Il sera précédé d’un grand bal à 20h30. Des animations sont réalisées dès 10h pour les enfants atelier maquillage, sculpture de ballons, baby-foot géant et même un bal pour les enfants. Des consignes de sécurité sont mises en place les bouteilles en verre et en plastique sont interdites, tout comme les objets tranchants et les pièces d’artifice. IVRY SUR SEINE début des festivités mercredi 13 à 19h au Parc départemental des Cormailles, avec bal populaire et animations pour les enfants. Le feu d’artifice sera jeté dans la tombée de la nuit. L’entrée au parc fera du côté de la cité Maurice-Thorez et de l’avenue Danielle-Casanova. FONTENAY SOUS BOIS le feu d’artifice aura lieu le soir de la fête nationale à 22h30 au stade Le Tiec. La veille, un grand bal est organisé à partir de 21h00 au kiosque du parc de l’hôtel de ville. DOUCEMENT Les spectateurs pourraient admirer le feu d’artifice mercredi soir, vers 23 h, après le complexe sportif Maurice-Baquet. Elle sera précédée d’un grand pique-nique au Parc Picasso. CHOISY LE ROI Des animations sont diffusées dès 19h au parc de la Grande Mademoiselle. Le feu d’artifice sera tourné vers 23h30 et pourra être j’admirerai après les berges de la Seine et devant la médiathèque Aragon. D’autres feux d’artifice seront tirés le merci 13, notamment à Arcueil et Champigny. À Cachan, Vitry-sur-Seine, Thiais, au Kremlin-Bicêtre, et Maisons-Alfort, le feu d’artifice aura lieu le 14 juillet. Val d’Oise ARGENTEUIL le feu d’artifice sera tourné de 13h à 23h après le parc de l’hôtel de ville. Les spectateurs pourront également assister à la pièce musicale “Boom Boom La La La” de DJ Zebra. PONTOIS le feu d’artifice du 14 juillet sera visible après les berges de l’Oise et le pont de chemin de fer à partir de 22h45. Il durera une vingtaine de minutes et un thème pour “songe d’une nuit étoilée”. Un spectacle sur fond musical avec des chansons de John Lennon, Jean-Jacques Goldman ou encore Mylène Farmer. GOUSSAINVILLE les festivités du 14 juillet auront lieu à Goussainville Plage, au parc Delaune, de 13h30 à 18h30 La soirée aura lieu au complexe sportif Maurice-Baquet pour un concert, barbecue géant et bal, avec bien sûr le traditionnel feu d’artifice que sera vers 23h. Des feux d’artifice sont également prévus le soir du 13 juillet à Auvers-sur-Oise, Franconville, Garges-lès-Gonesse et Herblay-sur-Seine. À Eubonne, Cormeilles-en-Parisis, Montmorency et Gonesse, le feu d’artifice aura lieu le soir du 14 juillet. Il arrive dans ce café de Saint-Ouen où il nous a donné rendez-vous, volubile, direct. Défendre son dernier livre Nos rêves de pauvres lui tient à cœur, c'est visible. Après tout, c'est normal, n'y raconte-t-il pas son père, Mohand Dendoune, immigré kabyle, père courage venu à l'âge de 22 ans à Paris dans les années 50, lui le berger de Kabylie ? N'y rend-il pas hommage à sa mère, Messaouda Dendoune, mère vaillance qui a élevé 7 filles et 2 garçons, en pauvreté mais dignité, d'abord dans un bidonville, puis à la cité Maurice-Thorez de l'Île-Saint-Denis ? Ne rend-il pas ainsi honneur à ces immigrés » exilés, qui ont en silence construit aussi la France, ces chibanis désormais oubliés, dont les enfants, à l'instar de Nadir Dendoune, veulent désormais dire l'histoire. La rétablir. Son nouveau livre, Nos rêves de pauvres, après les précédents Journal de guerre d'un pacifiste, puis Lettre ouverte à un fils d'immigré, et Un tocard sur le toit du monde, est un recueil de chroniques qu'il a publiées régulièrement, tous les mardis, dans le journal qui l'emploie, Le Courrier de l'Atlas. Dans ce recueil, il y a d'abord les mots, maudits puis désirés. Les mots dits, ceux sur lesquels il butait enfant, un bégaiement qu'il a surmonté en combat solitaire. Une bagarre qu'il a continuée avec les mots écrits, quand sa professeure de français lui a dit, adolescent, que ce qu'il écrivait n'était pas de la littérature ». Il n'y a que maintenant que je me dis que je sais peut-être un peu écrire », glisse-t-il légèrement dans la conversation. Désormais, il cite Virginie Despentes, Camus, Romain Gary, Kundera, Albert Cohen, et adore » Guy de Maupassant. Surtout, il revendique le mot d'Annie Ernaux qui dit écrire pour venger les siens ». Lire m'a sauvé. J'avais un mal-être, plus jeune. Lire m'a permis de dépasser cela. J'étais en rage, maintenant je suis en colère. Mais, être en colère, c'est bien, c'est constructif, c'est être vivant. » Effectivement, Nadir Dendoune sait écrire, en musicalité. J'écris avec mon oreille », affirme-t-il. Dans Nos rêves de pauvres, il met en musique son enfance, entre le vide des hauteurs bétonnées et Paris, si loin et si proche. Mais attention, pas les cités horrifiques des faits divers. Les vraies, celles où vivent entre eux ceux qu'il appelle les petits, les pauvres ». Dans la cité Maurice-Thorez, on vivait entre prolétaires, on achetait le dimanche le journal L'Humanité, parce que c'était l'un des rares journaux à parler de la classe ouvrière », écrit-il. C'est là, à déchiffrer sur le balcon familial les longs articles, que Nadir y forge une conscience de classe, même si le mot semble désormais dépassé, mais le mot seulement. Il raconte la pauvreté, mais pas la misère, celle qui l'a tellement marqué que même maintenant il se refuse à toute dépense que ses parents ne se seraient pas autorisés, comme si, finalement, on restait pauvre toute sa vie ». Je m'interdis d'avoir une vie de riche. Parfois, je gagne en une fois deux, trois fois le salaire de mon père, cela me fait bizarre », constate-t-il. On l'observe ainsi qui débarrasse spontanément les tasses vides de café pour les rendre au serveur derrière son comptoir, surpris par le geste, je n'aime pas être servi, en cela je suis un ancien pauvre », s'amuse-t-il. Dans la cité où il grandit, à l'époque, il n'y avait pas de Noirs, pas de Beurs […], pas de musulmans ou de juifs on était tous des enfants de pauvres », écrit-il. Il dit surtout qu'au final la cité n'a pas été une malédiction sociale, bien au contraire Je comprends enfin la chance d'être banlieusard. » Cette fierté, il tente de la transmettre à ces élèves qu'il rencontre régulièrement Ce qui fait mal au cœur c'est que ce que je vivais il y a 30 ans, les gamins le vivent encore, voire en pire. On croit que le théâtre, ce n'est pas pour nous, que chef d'orchestre, écrivain, ce n'est pas pour nous. Quand je leur demande s'ils ont confiance en eux, ils disent tous que non. Pourtant, c'est fondamental. Il faut travailler sur l'estime de soi. Je dis aux gosses Tu as le droit d'écrire, de faire de l'alpinisme. C'est quand j'ai fait une école de journalisme renommée que j'ai compris que naître de l'autre côté du périphérique marque. J'avais un complexe de culture alors j'ai lu. Mais j'avais appris, moi, la vie sur le terrain, pas que dans les livres. C'est ce que je dis aux gamins de leur handicap, ils peuvent faire une force. Il faut juste se décomplexer, vaincre ses blocages internes », analyse-t-il. Cette estime, il a pu l'acquérir, quant à lui, grâce à Salah Ouarti, animateur de quartier ultra diplômé, citant Nietzsche et Foucault, mais qui avait pourtant choisi de s'occuper des gamins de la cité. La salle de quartier a été essentielle dans mon parcours. Salah avait compris la question essentielle de la géographie. Il savait qu'il fallait une salle dans notre cité, car l'emprise des tours est forte, c'est comme un aimant, on ne sort pas du quartier. » Autre mise en musique par les mots, ceux dédiés à son 93 de naissance, celui-là même à qui il a rendu hommage une fois atteint le sommet de l'Everest. Je suis un banlieusard, et pas de n'importe quelle banlieue, du département le plus pauvre de France ; c'est pourquoi je l'aime autant. J'ai mis le cœur 93 au sommet. J'étais à 6 000 mètres, j'ai alors pris un carton, ai vaguement découpé un cœur et ai inscrit 93. » Ce détail sera repris dans le film L'Ascension. À travers ces chroniques, on devine aussi une partition de voyages, en Australie d'abord, où il s'envolera à l'âge de 20 ans après avoir vu un documentaire sur ce pays des possibles. J'ai vécu à Sydney jusqu'à 29 ans. C'est la terre d'immigration par excellence. Tout le monde venait de partout. Là-bas, j'étais un homme blanc, j'étais un Occidental. J'ai trois passeports français, algérien, australien. Je me sens citoyen du monde, même si cela sonne cliché », s'amuse-t-il. Il fera le tour de ce pays continent à vélo, avant de faire le tour du monde à vélo, pour la cause de la lutte contre le sida. Autre tempo dans ce livre, celui de la France telle qu'elle est. Il y a une multitude de Français ; être français, c'est vivre ici, simplement. Ceux qui pensent que l'identité d'un pays est figée ont la mémoire courte. Tout bouge, il suffit de regarder l'histoire. Ma famille, la famille Dendoune, est une famille française comme une autre », note-t-il simplement. Et ne lui parlez surtout pas de beur », un mot qu'il déteste. Plus encore, dans ses multiples chroniques consacrées à la Seine-Saint-Denis, pas une fois il n'aborde la question de la religion. La remarque semble presque le surprendre Dans la ville où j'ai grandi et vis encore, la religion est un non-problème ; c'est dans la sphère privée. Ce n'est pas un sujet. Mais c'est étrange, car on en parle partout, à croire qu'on crée le sujet. » En mots brefs et nets, il articule aussi une loi presque sociale Moins la France nous aime, plus nous nous rapprochons de nos racines, c'est mécanique. » Enfin, se fait entendre la douce symphonie écrite en chroniques subtiles pour ses parents. Leurs photos superbes illustrent d'ailleurs la couverture. J'ai tout fait par amour j'ai lu par amour d'une femme, je suis devenu journaliste pour elle aussi. Mais tout a commencé avec l'amour de mes parents. Ma force vient de leur regard bienveillant. Même si j'ai fait le tour du monde à vélo, ai gravi l'Everest, je ne l'ai fait que pour ce regard qu'on a eu sur moi. Quand je fais quelque chose, il faut que les miens soient fiers de moi, sinon cela me dérange. Le but de ce livre est de raconter la vie comme elle est. Mais surtout de rendre hommage à mes parents. Il faut être fier de ses parents. C'est la base pour se construire. Ces gamins que je rencontre, je leur dis cela. Je n'ai rien fait seul, on ne fait rien seul. Je suis une réussite collective. » Mais désormais, après autant de dépassements, physique, social, culturel, dépassement de frontières ou de mots bloqués, Nadir Dendoune conclut Il a fallu que je fasse des trucs extraordinaires pour devenir normal. Quand j'ai fini l'Everest, c'est comme si c'était une fin de boucle. Je me suis rendu compte que le vrai Everest est d'être heureux dans la vie. Moi, tous les matins je vais boire un café chez ma mère et si ce n'est pas cela être riche. »* Salon du livre de Paris retrouvez Nadir Dendoune le 26 mars 2017 de 14 heures à 17 heures au stand Pocket pour dédicacer son livre Un tocard sur le toit du monde », actuellement adapté au cinéma sous le titre L'Ascension ». 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Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois se questionner sur la condition des seniors dans ces lieux, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Tours Aillaud, Cité Pablo Picasso, Nanterre Hauts-de-Seine, 2014. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Espaces d'Abraxas, Noisy-le-Grand Seine-Saint-Denis, Joseph, 88 ans, 2014. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Damiers, Courbevoie Hauts-de-Seine, José, 89 ans, 2012. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Puteaux-La Défense Hauts-de-Seine, José, 89 ans, 2012. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Vision 80, Esplanade de La Défense Hauts-de-Seine, Josette, 90 ans, 2013. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Espaces d'Abraxas, Noisy-le-Grand Seine-Saint-Denis, Joseph, 88 ans, 2014. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Le Pavé Neuf, Noisy-le-Grand Seine-Saint-Denis, 2015. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Damiers, Courbevoie Hauts-de-Seine, Alain, 80 ans, 2013. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Orgues de Flandre, 19e arrondissement Paris, 2014. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Intérieur des Tours Aillaud, Cité Pablo Picasso, Nanterre Hauts-de-Seine, 2014. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Cité du Parc et cité Maurice-Thorez, Ivry-sur-Seine Val-de-Marne, Denise, 81 ans, 2015. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Puteaux-La Défense Hauts-de-Seine, Jean, 89 ans, 2011. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Tours Aillaud, Cité Pablo Picasso, Nanterre Hauts-de-Seine, 2014. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Cité Spinoza, Ivry-sur-Seine Val-de-Marne, Denise, 81 ans, 2015. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Espaces d'Abraxas, Noisy-le-Grand Seine-Saint-Denis, Lucien, 84 ans, 2014. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Damiers, Courbevoie Hauts-de-Seine, Paulette, 83 ans, 2015. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Les Arcades du Lac, Montigny-le-Bretonneux Yvelines, Roland, 85 ans, 2015. Laurent Kronental Photographier les grands ensembles de la banlieue parisienne conçus dans les "Trente Glorieuses" et, dans le même temps, les plus anciens de leurs occupants c'est le projet mené par Laurent Kronental sur plusieurs années. Sa série "Souvenir d'un Futur" est le résultat d'un travail double de généalogie humaine et urbaine, le photographe entendant tout à la fois de déconstruire l'image négative liée au grand âge, et proposer un autre regard sur des quartiers souvent marginalisés. Pour immortaliser ses sujets de chair et de béton, Laurent Kronental a privilégié la chambre argentique grand format 4x5, un outil performant, mais qui suppose de la technique et de la patience. Découvrez une sélection de ces témoignages visuels sur le destin lié d'hommes et de lieux singuliers. Le Viaduc et les Arcades du Lac, Montigny-le-Bretonneux Yvelines, Jacques, 82 ans, 2015. Laurent Kronental Les traditionnelles Terrasses d’été se poursuivent au pied des immeubles de L’Île-Saint-Denis ! Après une première réussie dans le quartier Sud au square Marcel Cachin, toute l’équipe de la Maison des Initiatives et de la Citoyenneté MIC vous donnent rendez-vous ce mercredi 10 juillet, de 15h à 18h30, sur l’esplanade Danielle Mitterrand rue Méchin, à côté de la mairie pour y planter vos parasols et installer vos transats ! Le programme des animations sur place – Ludomobile Les Enfants du Jeu – Atelier sport La passerelle jeunesse – Atelier de sensibilisation à la prévention routière – Jeux de sable et d’eau pour les enfants Îlot Famille – Atelier de sensibilisation RATP – Atelier création de masques Animaginaire – Atelier cuisine de préparation de goûter Îlot Famille – Flashmob Compagnie L’Essoreuse – Initiation à la zumba Amunanti – Atelier Appli hour Emmaus connect Sans oublier le Big Jump, qui vous sensibilisera aux enjeux de qualité de l’eau et de la Seine fresque grandeur nature, refuge pour poissons, informations, etc. ! Les prochains rendez-vous Animations, loisirs créatifs, jeux et prévention en journée, de 15h à 18h30 – Quartier Sud le 17 juillet, square Marcel Paul – Quartier Nord le 24 juillet, cité Thorez Animation festive et repas partagé, de 17h à 22h – Quartier Nord 12 juillet, cité Maurice Thorez – Quartier Centre 19 juillet, place des Arts Enfin, n’oubliez pas les portes ouvertes de la MIC les jeudis 11, 18 et 25 juillet ! Partagez cela à vos proches !

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